Ce mardi, l’Institut international pour l’action non-violente (Novact) a présenté dans les locaux de l’Association marocaine des droits humains (AMDH) son étude, «Les médias en ligne au Maroc et le journalisme citoyen : Analyse des principales limites à un environnement favorable». L’occasion de dresser un bilan, sombre, de la situation des médias en ligne à la lumière du nouveau Code de la presse.
Un cas de «censure» qui serait passé inaperçu sans l’indignation de l’un des invités, le politologue Abdessamad Belkebir, qui a tenu à médiatiser l’affaire. Jeudi soir, l’émission en direct Wajhan Li Wajh (Face-à-face) de France 24, devant parler de la situation interne du PJD a été tout bonnement annulée sans explication aux téléspectateurs. L’invité et une
Sur le papier, la coalition annoncée par Benkirane est extrêmement fragile. Elle ne compte que sur l’appui de 201 députés, contre 194 pour les autres formations. Il suffit de quelques décisions de la Cour constitutionnelle annulant l’élection de certains élus de la majorité pour qu’elle se trouve en minorité.
D'après l'organisme Freedom House, la plupart des pays du monde accusent un déclin de la liberté d’Internet ces six dernières années. En 2016, le Maroc est classé 34e sur 65 pays selon le rapport annuel de l’ONG. Détails.