Les conclusions du CNDH concernant les procès Raissouni et Radi ont surtout insisté sur la diffamation des victimes.
Condamné vendredi dernier sur la base d’une plainte pour harcèlement sexuel, le journaliste Soulaiman Raïssouni refuse de faire appel, selon ses avocats. Plusieurs acteurs de la société civile l’ont appelé une nouvelle fois à suspendre sa grève de la faim.
AMDH, membres d’Al Adl Wal Ihsane, avocat et activistes ont dénoncé une peine «sévère» et un procès «entaché de plusieurs violations», au lendemain du jugement rendu à l’encontre du journaliste, détenu depuis mai 2020 et qui condamné à cinq ans de prison et une amende de 100 000 dirhams.