Concernant l’affaire de la petite fille violée à l’âge de 11 ans, près de Tiflet, Me Mohamed Sebbar a estimé que la réouverture rapide du procès en appel était un indicateur sur la reconnaissance d’une erreur par le pouvoir judiciaire, ainsi que sur la volonté de celui-ci de rectifier le tir. Mais au-delà, il espère que le retentissement de cette affaire soit un catalyseur, pour renforcer les