A l’issue de huit journées à la cour criminelle de Paris, le photographe marocain Salim Berrada a écopé de 18 ans de réclusion, avec une interdiction du territoire français. Dans le cadre de cette affaire dite du «violeur de Tinder», le tribunal a reconnu la culpabilité du mis en cause dans 15 sur 17 plaintes pour viol et agression sexuelle.
A la cour criminelle du Palais de justice de Paris, le procès dit du «violeur de Tinder» arrive à son dénouement, jeudi 28 mars, avec le réquisitoire de l’avocat général, Philippe Courroye. Dans le cadre de cette affaire, le photographe casablancais Salim Berrada est jugé pour 13 viols et 4 agressions sexuelles. Il risque 20 ans de réclusion.
Ce mercredi, un ancien membre du service sécuritaire antiterroriste des Pays-Bas, le Coordonnateur national pour la sécurité et la lutte contre le terrorisme (NCTV), a comparu devant la justice pour l’ouverture de son procès. Arrêté en octobre 2023, il est soupçonné d’avoir fait fuiter des informations secrètes au profit du Maroc.
Ce mardi, la chambre criminelle à la Cour d’appel d’El Jadida a démarré les audiences d’un éducateur sportif, mis en cause dans des faits de pédophilie. En août dernier, l’homme de 57 ans est apparu en flagrant délit d’attentat à la pudeur sur des mineurs, dans une vidéo filmée sur la plage de Oualidia. Des ONG espèrent désormais que cette procédure
Le 19 octobre 1966, Ahmed Dlimi, adjoint du général Oufkir, alors ministre de l’Intérieur, se rend en France pour se constituer prisonnier dans le cadre du procès suite à l’enlèvement de Mehdi Ben Barka. Il faisait l’objet, tout comme son supérieur, d’un mandat d’arrêt international émis par les autorités françaises mais sera, par la suite, acquitté.