Depuis 5 jours, 9 migrants subsahariens, majoritairement des Congolais, et deux petits enfants, sont bloqués dans le no man's land qui sépare les frontières marocaine et mauritanienne. Le Maroc les expulse ; la Mauritanie les refuse. Ils attendent en plein désert.
Pour ou contre une intervention armée au Nord-Mali ? Le Maroc avait répondu «contre» une première fois, en août, mais les Etats Unis et la France affutent leurs arguments. Dans le cadre de deux rencontres officielles, ils devraient tenter de convaincre le Maroc de soutenir officiellement cette intervention.
Mustapha Selma revient sur le devant de l’actualité. Deux ans après son exil forcé en Mauritanie, l'ancien inspecteur général de police du Polisario, acquis tardivement à la cause marocaine, entend renouer avec les siens et annonce son retour aux camps des Tindouf.
Abdellah Senoussi, l’ancien patron des services secrets de Kadhafi, arrêté samedi à Nouakchott en provenance de Casablanca, alimente le cours des spéculations. Le ministère de l’Intérieur ou de celui des Affaires étrangères, observent religieusement un silence radio. Jusqu’à présent point de déclarations d’un officiel gouvernemental ou sécuritaire. C’est dire l’embarras des
Des médias marocains relaient depuis ce lundi des déclarations de Mustapha Salma faites depuis la capitale mauritanienne, où il réside depuis sa libération. Dans ces déclarations, il est question des conditions de détention de l’homme, des manigances du Polisario, mais également de son désir profond de retrouver sa famille.
Le président de l'Union des forces de progrès (UFP), parti de l'opposition, Monsieur Mohamed Ould Maouloud, a affirmé, jeudi soir, qu'une « puissance étrangère » se trouvait « derrière » le putsh survenu le 6 août dernier en Mauritanie.