Ce mardi 14 mai 2024, Amnesty International a publié son dernier rapport intitulé «Ma vie est brisée» : l’urgence de dépénaliser l’avortement au Maroc. L'organisation dénonce les effets dévastateurs de la criminalisation de l'avortement au Maroc, particulièrement dans les cas de grossesse résultant de viols.
Comme promis lors de sa campagne électorale, le président américain Joe Biden a fait un premier pas dans son grand projet de dépénalisation des usages du cannabis, à commencer par la marijuana. La justice fédérale a désormais gracié les condamnations antérieures pour possession, parallèlement à un processus de révision de la classification de cette substance.
Fouzia Assouli, présidente d’honneur de la FLDDF, entre autres, plaide en faveur d’une réforme du code pénal et de sa philosophie qu’elle juge encore très conservatrice et discriminatoire à l’égard des femmes.
Le kif divise le PJD et le PAM. Une ONG proche des islamistes appelle les oulémas à faire face au projet d’El Omari proposant la dépénalisation de la culture du kif. De son côté, le secrétaire général du Tracteur espère le soutien du Palais.
Human Rights Watch s'en prend au gouvernement marocain et principalement au ministre de la justice, Mustapha Ramid, pour la dépénalisation de l’homosexualité. L’ONG fustige les déclarations qu’elle juge «homophobes» de Ramid dans les médias marocains après l’épisode du lynchage de Fès.
Répondant à Vincent Peillon qui s’est prononcé dimanche en faveur de l’ouverture d’un débat sur la dépénalisation du cannabis, l’ex-garde des Sceaux, Rachida Dati, a estimé la position du ministre français de l’Education «lâche», «grave et irresponsable». L’occasion pour elle de revenir sur ce sujet particulièrement sensible puisque deux de ses frères ont