Les 14 et 15 octobre 1979, des éléments armés du Front Polisario attaqueront une garnison de Mahbès et ses 1 200 hommes du bataillon d'infanterie des FAR, en poste depuis quatre ans déjà. Ils sont alors massacrés dans leur sommeil et les survivants exhibés devant la presse internationale dès le lendemain. Histoire d’un drame.
Dans son nouveau rapport sur la situation au Sahara, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a contredit les communiqués du Polisario, saluant «des dégâts et des pertes causés par les attaques» de ses milices dans les rangs des Forces armées royales (FAR).