La rentrée sociale se fera aux couleurs de l’Istiqlal. Hamid Chabat et les siens comptent battre le pavé, ce dimanche. Une marche à valeur de test pour la popularité du chef du parti de la Balance.
Si les associations des droits de l’Homme, tant au Maroc qu’à l’étranger, sont unanimes pour exprimer leur solidarité avec Ali Anouzla et demander sa libération, des formations politiques marocaines saluent l’arrestation du directeur de Lakome.com.
Sans attendre que le baril de pétrole atteigne les 120 dollars sur le marché mondial, le cabinet Benkirane a mis en application l’indexation partielle des prix des carburants. L’effet domino sur les autres produits de consommation n’est sans doute plus qu’une question de jours.
C’est contre le retard ou le «détournement» de projets lancés par le roi Mohammed VI en 2007 que les habitants de Targuist protestent. Dans un premier temps, les autorités ont usé de la matraque pour contenir la colère de la population, constatant l'inefficacité de ce moyen elles se sont résignées à appeler au dialogue. Une offre rejetée par les manifestants.
Est-ce la dernière ligne droite pour Benkirane II ? Les négociations s’annoncent prometteuse avec le RNI avec le récent regain d’optimisme au sein de la majorité gouvernementale. Toutefois, l’avenir de Mezouar est au cœur de toutes les spéculations : Reviendrait-il au ministère des Finances, ou sera-t-il nommé à la tête des Affaires étrangères ? El Othmani paierait-il si cher
L’an dernier la cérémonie d’allégeance a été perturbée par une manifestation, à Rabat, d’un groupe d’opposants à ce rituel. Une première. Cette année, en l’absence de sit-in de ce genre, c’est le refus d’un député istiqlalien d’assister à cet acte qui a ravi la vedette. Son parti, par la voie de la jeunesse de la Balance, vient de prendre ses distances
Le feuilleton Chabat contre El Ouafa vient de connaître un nouvel épisode. Il n’est, d'ailleurs, pas l'ultime. L’homme fort au sein du parti de la Balance vient d’expulser le ministre de l’Education nationale. Une mauvaise décision, sachant qu’elle bénéficie, surtout, à ses détracteurs au sein de l’Istiqlal, au PJD de son grand rival Benkirane et à la carrière politique d’El Ouafa qui se
Le passage de l’Istiqlal à l’opposition commence à se faire sentir. Le groupe des députés a choisi d’attaquer le PJD sur un sujet hautement sensible pour les islamistes, au point d’en faire un fonds de commerce et une marque déposée : le combat contre la normalisation des relations commerciales avec Israël. Détails.
Le roi Mohammed VI a accepté les démissions des cinq ministres de l’Istiqlal. Une première au Maroc. Sous les anciennes constitutions, les membres du gouvernement n’avaient pas cette liberté, c’est le roi qui les limogeait.
Ramadan 2007, Abbas El Fassi, courait à gauche et à droite pour former son cabinet. Ramadan 2013, Benkirane cherche une roue de secours à même de remplacer la perte de l’Istiqlal. Contrairement à son prédécesseur, l’actuel chef de gouvernement n’a pas l’embarras du choix. Il est contraint, par ses alliés au sein de la majorité, à négocier avec le RNI et son grand ennemi politique, Salaheddine