En bon ex-ministre de l’Economie et des finances, Nizar Baraka se réveille à chaque vote du projet de loi de finance. Désormais dans l’opposition molle, le secrétaire général du parti de l’Istiqlal nous a fait un numéro burlesque de populisme fiscal.
Pour Nizar Baraka, le remaniement ministériel a donné naissance à un nouveau cabinet disposant de «nouvelles structures et de nouvelles orientations». Mais si le patron de la Balance préconise la présentation, devant le Parlement, d’un nouveau programme, son appel reste, selon des experts en droit, «sans fondement constitutionnel».