L’interview accordée par Fathallah Arsalane à l’AFP lui a servi de tribune pour faire la promotion de la Jamaâ au niveau international, soutenant que AWI accepte la liberté de conscience. Une manière pour le n°2 d la Jamaâ de ne pas laisser au roi prendre une longueur d’avance. Al Adl Wal Ihssane ne reconnait d'ailleurs pas le statut de commandeur des croyants au roi.
Nouvelle sortie médiatique du n°2 d’Al Adl Wal Ihssane (AWI). Cette fois, Fathallah Arsalane a choisi l’AFP pour se confier et, par la même occasion, tirer à boulets rouges sur le PJD qui a choisi de diriger un gouvernement «sans prérogatives». Il accuse même ses membres d’être de simples «employés de façade».
«Nous sommes disposés à créer un parti (…) mais l’Etat est-il prêt à nous accepter en tant qu’entité politique». Les propos sont du numéro deux d’Al Adl wal Ihassane. Ils ont le mérite de réitérer la volonté de la Jamaâ de s’intégrer dans le jeu politique mais sans aucune condition. Le bras de fer se poursuit entre les deux camps.
«Mal être au travail ? Mythes et réalités sur la santé mentale et l’emploi», c’est le titre du dernier rapport de l’OCDE. Selon cette enquête, un cinquième des travailleurs dans le monde souffrent de troubles mentaux occasionnés par le travail. Le Maroc n’est pas épargné par cette tendance. Insomnie, stress et anxiété rongent les travailleurs au Maroc.