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Grand Angle

Tanger en images : Les meilleurs moments de Tanjazz 2010

 

DIAPORAMA. Au Maroc, si des nouveaux festivals sont annoncés à tout bout de champs, certains ont une tradition. A Tanger, Tanjazz en est à sa 11ème édition, et cela se remarque. Les amateurs qui discutent des éditions précédentes, les artistes qui comptent déjà sur ce rendez-vous annuel – et un public tangérois qui se laisse prendre au jeu des musiciens. Photos : Pascal Bouclier (PB) et Yabiladi.com

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Opération séduction réussie : avec Tanjazz, des nouveaux styles de musique s'ancrent dans la vie des Tangérois, à commencer par les plus petits. (Photo : PB)
Prise de son : dans l'après-midi, les concerts se préparent... (Photo : Yabiladi.com)
...le palais des institutions italiennes, lieu magique où se trouve la plupart des scènes jazz du festival, est encore désert. (Photo : Yabiladi.com)
Le soir, l'ambiance monte rapidement. Le public ne se contente pas de juste écouter... (Photo: PB)
...certains spectateurs volent même la vedette aux artistes. (Photo : PB)
Avec son répertoire de standards jazz, Jean-Pierre Como, quant à lui, attirait plutôt les fans d'un jazz posé, réfléchi. (Photo : PB)
Ce qu'apprécient tous les amateurs de jazz, c'est la communication entre artistes sur scène... (Photo : PB)
... l'humour et la spontanéité. Ainsi, Tony Lewis, batteur de Circular Time, est venu renforcer Enzo Carniel sur scène quand son batteur était bloqué dans les grèves en France. (Photo : PB)
L'artiste le plus en vue de cette 11è édition de Tanjazz était certainement Monty Alexander, venu en trio. Le doyen du jazz aux influences latino jouait pour la première fois au Maroc et était « enchanté de venir dans ce pays merveilleux », (Photo : PB)
« J’aime ce que je vois ici », nous confiait-il. « J’ai entendu tant d’histoires sur la vie ici, de la part d’amis musiciens, de Randy Weston… » (Photo : PB)
La nouveauté de cette édition : deux scènes gratuites, dont une qui ne jouait que du blues, funk et de la soul. Ouverture du bal par l'impressionnante Nina Van Horn mercredi soir. (Photo : PB)
Autre moment fort : Fam de Funk. 9 musiciens qui mettaient le feu avec leur musique heureuse, pourtant moins écoutée au Maroc que la musique de l'autre groupe qui jouait sur scène gratuite samedi soir... (Photo : PB)
Le groupe Mazagan, qui n'a plus besoin d'être présenté au Maroc. Ici Simo Hamam aux claviers et au chant. (Photo : PB)
Et le public apprécie. Si les scènes payantes ont accueilli environ 5000 spectateurs, le public des scènes gratuites se compterait par dizaines de milliers, selon Philippe Lorin, directeur du festival. (Photo : PB)
Pour faire plaisir au public tangérois, il n'y avait pas que les scènes gratuites. Deux groupes de percussions jouaient matin et soir dans les rues de Tanger, ici Batucada Bandana de Villeurbanne. (Photo : PB)
Si tu ne viens pas au jazz, le jazz viendra à toi - un des motifs de Tanjazz ? En tout cas, les percussionnistes de Zangao l'ont pris au sérieux, et avec succès. (Photo : PB)
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