Chaque été près de 4 millions de MRE rentrent pour les vacances au Maroc. Ils sont mécaniquement comptabilisés comme des touristes et grossissent les statistiques. Pourtant, entre la première et la deuxième génération de MRE, les rapports avec le Maroc changent. Aujourd’hui, les enfants d’émigrés ne voient plus le «retour au bled» de la même façon que leurs parents. Touristes ou pas
La nouvelle peut surprendre plus d’un : le Maroc est la seconde destination touristique préférée des Algériens après la Turquie. En cas de réouverture des frontières, le royaume pourrait même ravir la vedette à la lointaine Turquie et tirer profit des nombreuses opportunités qu’offre le marché algérien.
Le «retour au bled» estival des enfants d'émigrés, sujet du dossier du nouveau Yabiladi Mag, est encore mal compris par les professionnels du tourisme au Maroc. Pour l'Office national marocain du tourisme, les MRE de la génération née en Europe sont des touristes comme les autres, en dépit des opportunités offertes par le tourisme des origines. Les intéressés eux-mêmes racontent surtout qu'ils ne passent plus leurs
L’attentat de Marrakech va obliger les professionnels du tourisme à revoir leurs calculs. Il est encore «très tôt» pour faire un bilan certes, mais des milliers de touristes ont déjà annulé leur voyage. Les Français, plus nombreux à visiter le Maroc se disent de moins en moins tentés d’aller passer leurs vacances dans certains pays arabes, y compris le royaume.
De Montréal à Milan, en passant par Paris et Lyon, l’immobilier marocain est à l’honneur. C’est le printemps pour ce secteur capital de l'économie marocaine. Certains promoteurs ont bien pris conscience des exigences actuelles des acheteurs.
Malgré des annonces en baisse, les investissements directs étrangers (IDE) étaient en légère hausse fin 2010. Une année charnière pour la région, indique le dernier rapport «Invest In Med», entre crise économique en 2009 et crise politique en 2011, avec ses conséquences positives et négatives. Cette nouvelle année pourrait néanmoins voir les IDE augmenter au Maroc de manière
Le Royaume est passé de la première à la quatrième place des destinations les mieux vendues, chez le numéro 1 français de la vente en ligne de billets d’avion. Marrakech, la capitale touristique a reculé dans les ventes de l’opérateur. Par contre, les réservations à destination des Etats-Unis volent vers des sommets. L’appréhension des passagers suite aux troubles en Tunisie, en Egypte et
Le tourisme marocain profitera dans le court terme de la révolution du jasmin en Tunisie. Alors que certains vacanciers Français, optent pour le Royaume, le pays devrait également s’attendre à abriter, les mois à venir, plusieurs rencontres de tourisme d'affaire supplémentaires. Des rendez-vous pris en Tunisie et en Egypte pourraient se rabattre au Maroc. Néanmoins le Maroc devra tout faire pour préserver sa stabilité
L'agence de notation Coface maintient son appréciation du risque pays du Maroc au même niveau que les années précédentes : A4. Le pays est stable, mais des lacunes existent au niveau du recouvrement de créances, estime l'agence, qui critique par ailleurs la forte dépendance du secteur agricole, une productivité et compétitivité insuffisantes et la vulnérabilité du secteur du tourisme.