Alors qu'il y a quelques années encore, les touristes algériens au Maroc n'étaient comptés qu'à une centaine de milliers, ils ont atteint les 700 000 en 2012, bien que les frontières entre les deux pays restent fermées. Cependant les touristes marocains n'affluent pas autant dans le pays voisin.
Liberté, indépendance financière ou caprices, seraient de possibles raisons expliquant l’engouement des Marocaines riches pour les casinos. Mais les autres femmes aux bourses moyennes jouent également non pas dans ces lieux de fortunés mais dans les bureaux de la Loterie nationale et la Marocaine des jeux et des sports.
Le Forum Economique mondial vient de publier son rapport 2013 sur la compétitivité touristique. Et d’après les résultats, le Maroc s’améliore, même si certains aspects indispensables pour son attractivité et sa compétitivité sont encore loin des standards internationaux. Pour sa part, le ministre du Tourisme, Lahcen Haddad, estime que «chacun doit assumer ses responsabilités».
En 2013 Essaouira et le Sahara occidental sont parmi les meilleures destinations d'aventure au monde, selon The Guardian. Un tel classement devrait avoir une incidence positive sur le tourisme au Maroc.
Asphyxiée par la crise, l’Union européenne se tourne vers le Maroc, pour redorer le blason de son économie et ce dans le cadre du partenariat qui lie les deux parties. L'UE estime que le royaume chérifien mérite de tirer profit des opportunités qu'il accorde à l'Union.
Se servir d’une idée européenne pour attirer les Européens, c’est exactement ce que vient de faire l’Office national marocain du tourisme [ONMT]. L’institution a lancé une campagne de lutte contre la «fin de l’été», pour drainer le maximum de touristes dans les villes du royaume. Le mouvement est né dans les rues européennes et l’Office s’attend à ce que l’idée
En ces temps de crise, la droite qui dirige Sebta élabore un plan exclusivement destiné aux touristes marocains. Une clientèle en hausse, notamment durant les périodes de soldes de janvier et de juillet.
Tanger, la belle ! Bientôt, l’on ne passera plus par-là juste pour transiter vers l’Europe et vice versa. Du moins c’est l’ambition nourrie par les autorités de la ville et le gouvernement.
L’aérien marocain connait des difficultés depuis le début de l’année. Et le Maroc envisage cette fois un retour sérieux au charter, selon le ministre du Tourisme, Lahcen Haddad. Serait-ce une solution à la crise du low cost ?