Livrées à 17 rédactions à travers le monde, des données de Forbidden Stories et d’Amnesty International ont confirmé que le Maroc a bien utilisé le logiciel israélien Pegasus développé par NSO pour viser des journalistes. Après Omar Radi au Maroc, de nouvelles cibles seraient concernées en France, en Belgique ou en Espagne : Edwy Plenel, Eric Zemmour, ou Ignacio Cembrero.
Les clashs entre le Maroc et Amnesty International sont fréquents et occupent l’espace médiatique marocain, et parfois international. Néanmoins, les relations entre Rabat et AI avaient connu une embellie, sous la primature de Abderrahman El Youssoufi ainsi qu'en 2009, comme nous le révèle Mohamed Sektaoui, directeur général de l’ONG au Maroc.