Avec l’agression, dimanche à Tanger, de trois migrants subsahariens à l’arme blanche puis le kidnapping, hier à Nador, de deux subsahariennes par une bande criminelle, l’AMDH tire la sonnette d’alarme quant à une tendance haussière. Elle rappelle que ces migrants déposent rarement plainte contre leurs bourreaux de peur du refoulement.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, les détenus du Hirak du Rif transférés de Casablanca aux prisons Tanger 2 et Fès ont suspendu leur grève de la faim et de l’eau. Ce n’est pourtant pas le cas de Rabii Ablaq, dont la famille affirme qu’il n’a toujours pas pris de décision dans ce sens, contrairement à l’annonce de l’administration pénitentiaire.