Les accusés, dont deux femmes et deux ressortissants français, sont poursuivis pour «traite d’êtres humains entraînant une maladie mentale, participation à celle-ci, harcèlement sexuel et non signalement d’un crime», entre autres, dans le volet marocain de l’affaire Assu 2000. La première audience s’ouvre mardi devant la Chambre criminelle de première instance près la Cour d'appel de Tanger.