Le 9 novembre 2010, les autorités marocaines décidaient de démanteler le camp de Gdim Izik, mis en place par des manifestants Sahraouis à 12 kilomètres de la ville de Laâyoune. Face au refus des manifestants de quitter les lieux, des affrontements violents ont eu lieu, causant la mort de 11 membres des forces de l’ordre en plus de 70 autres blessés. Quatre civils avaient été blessés alors que d’importantes pertes
Le ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération, Taieb Fassi Fihri, a tenu un second point de presse (après celui sanctionnant les travaux de la 9e session du Conseil d'association Maroc-UE) lundi soir à Bruxelles. Cette rencontre avec la presse avait pour but de clarifier les faits, après des accusations de certains titres ibériques, de l’interdiction d’accès à la ville de Laâyoune et au camp de
Il a suffit, ce lundi, à ce qu’un couple pro-sahraoui parle de «génocide» à Laâyoune pour que les médias espagnols reprennent le terme sur leur «Une». Une démarche qui, en plus de leur ôter tout professionnalisme, renseigne également sur leurs intentions d’envenimer la situation.
Le calme est revenu à Laâyoune après les événements du 8 novembre au camp Agdaym Izik. Hormis les bilans contradictoires des affrontements entre les agents de l’ordre et émeutiers, force est de constater que les affrontements de Laâyoune ont donné lieu à une désinformation, et ce, dès le départ. Les médias européens, particulièrement espagnols n’ont pas pris la peine de confronter