Dans cet épisode, nous aborderons les circonstances liées à l’opération menée le 2 octobre 1955 et les faits relatifs à la période ayant suivi les négociations à Aix-les-Bains entre les autorités coloniales françaises et les partis marocains. Nous aborderons aussi la tentative de la France d’entraver le lancement de l’armée de libération marocaine.
À la fin des années 1940 et au début des années 1950, certains membres de la résistance étaient convaincus de l’échec de l’action politique. Face à la situation difficile de la résistance dans les villes, ils décident de transférer leurs opérations dans la campagne, notamment au nord du Maroc, et de lancer une nouvelle phase d’action armée, au grand dam de l’opposition des partis
Après avoir émis un mémorandum conjoint au ministère de l'Intérieur sur les réformes politiques, démocratiques et électorales, la «coalition» d'opposition entre le PAM, l’Istiqlal et le PPS connaît déjà sa première épreuve, suite aux déclarations récente de Mohamed Nabil Benabdallah.
Le PAM, le PSS et le Parti de l’Istiqlal ont présenté, ce mercredi matin, lors d’une conférence de presse, un mémorandum commun pour des réformes politiques et électorales à la veille des élections de 2021. Un document qui insiste sur la nécessité d’assurer une participation des Marocains du monde aux prochains rendez-vous électoraux.
Jeudi, l'Union socialiste des forces populaires (USFP) et le Rassemblement national des indépendants (RNI) ont tenu une réunion de coordination, quelques jours seulement après une rencontre entre les dirigeants du Parti de la justice et du développement (PJD) et ceux du Parti de l’Istiqlal.
Le parti Istiqlal a appelé mercredi le chef du gouvernement Saadeddine El Othmani à activer l'article 103 de la Constitution, pour lier l'approbation de la loi-cadre pour la réforme du système d'éducation, de formation et de recherche scientifique à un vote de confiance. Un éventuel refus de confiance de la part des parlementaires entrainerait la démission collective de l’exécutif.