A Toulouse et ses régions, des directeurs d’écoles ont presque cru à un spam, mais il s’agit bien d’une correspondance où la police les invite à renseigner sur le taux d’absentéisme le jour de l’Aïd el-Fitr. Choqués, des cadres éducatifs fustigent «un fichage religieux» assignant tout élève absent à l’islam. Les interrogations demeurent sur