Les polémiques se suivent et vont toutes dans le même sens : l'islam ou les musulmans. Alors que l'on s'interroge encore sur la comparaison de Laurence Rossignol et que l'on s'étonne des propos polémiques de Manuel Valls sur la pensée salafiste, le Premier ministre français est à la manouvre pour mettre au devant du débat politique, la question du voile à l'université. Dans une interview à Libération, Manuel
La réaction du sociologue et spécialiste du fait religieux, Raphaël Logier accusant l’Etat et ses appareils de soutenir l'islamophobie, a relancé le débat sur la laïcité en France. Le premier ministre Manuel Valls a sévèrement critiqué l'Observatoire de la laïcité en reprochant à son président d'avoir signer une tribune contre le terrorisme avec des organisations controversées et à
Latifa Ibn Zyaten a été sifflée et huée alors qu'elle prenait la parole lors d’une conférence à l'Assemblée nationale sur la laïcité. Les auteurs de ces huées, pourtant socialistes, protestaient contre le voile de la mère du soldat tué par Mohamed Merah, et une étudiante qui l'accompagnait. Une situation qui a déclenché une vive polémique qui repose le débat sur
Différentes personnalités se disant «de culture musulmane» et vivant en France qualifient l’islamophobie «d’escroquerie intellectuelle». Dans un manifeste contre l'islamisme publié lundi dans Marianne, les signataires pensent que l'islamophobie vise «à anesthésier et à atrophier le débat» autour de la laïcité et de la république. Zineb El Rhazoui, Hassen Chalghoumi ou encore
Le groupe de travail sur la laïcité de l’Association des maires de France (AMF) s’est penché sur les différentes questions qui, d’après lui, font reculer le principe de laïcité. Curieusement, les maires ont évité de prononcé les mots polémiques ou qui pourraient faire référence à une communauté ou à confession en particulier. Mais une fois de plus, l’islam
Une mère voilée vient d’obtenir gain de cause. Le tribunal administratif de Nice l’a autorisée, mardi 9 juin, à accompagner en sortie scolaire son enfant. L’Etat devra verser 1 000 euros à la plaignante qui avait saisi le conseil d’Etat en janvier 2014.