L’Algérie et le Polisario utilisent les habitants des camps de Tindouf comme moyen de pression et de négociation auprès de la communauté internationale. Alger rejette catégoriquement toute demande de recensement de ces populations, se contentant de fournir des chiffres contradictoires. Des rapports crédibles indiquent que beaucoup de ceux qui vivent à Tindouf viennent d’Algérie, de Mauritanie et des pays du Sahel,
Presque trois mois après la formation du gouvernement d’unité nationale en Afrique du sud, Johannesburg a accueilli des entretiens de haut niveau entre le Maroc et le pays de Ramaphosa.