Ahmed Raissouni a encore du pain sur la planche. Elu à la tête de l’Union mondiale des érudits musulmans (UMEM) début novembre, l’ancien président du Mouvement unicité et réforme (MUR) hérite de son prédécesseur plusieurs dossiers chauds. Il s’agit notamment du fait que l’UMEM soit considérée, par plusieurs Etats arabes et musulmans, comme une organisation terroriste. Dans cet entretien
L’Afrique du sud a exhumé une vieille «requête» datant de 2004 pour justifier son rejet de la normalisation de ses relations avec le Maroc. Retour à la case départ ?
Officiellement, les relations diplomatiques n’existent plus entre le Maroc et Israël depuis 2000, mais en toile de fond, une coopération militaire et économique existe bel et bien. En plus de celle-ci, nombre d’activistes pointent du doigt les échanges culturels comme un aspect de l’art-washing apartheid.
Le ministère israélien des Affaires étrangères a annoncé qu'une délégation de 11 Marocains, comprenant des ingénieurs, des réalisateurs, des écrivains et des hommes d'affaires, est actuellement en visite à l'Etat hébreu, en soulignant qu’elle rencontrera des responsables israéliens et visitera également un grand nombre de lieux saints islamiques. Une visite qui ne passera pas inaperçue
L’initiative de la Chambre des représentants de consacrer des minutes de solidarité avec la Palestine est une nouvelle fois tombée dans la récupération politicienne. Le PJD et le PAM à la manoeuvre.
Depuis une semaine, la polémique enfle. Le Groupe d’action national pour le soutien à la Palestine et l’Observatoire marocain contre la normalisation ont révélé l’existence d’un institut israélien de formation sécuritaire au Maroc, faisant ainsi réagir la justice.
Une ONG marocaine a mis en garde contre l' «instrumentalisation» de la constitution dans des actions de normalisation avec Israël. Explications.
Invitée par le ministère israélien des Affaires étrangères, une délégation de neuf journalistes arabes dont cinq marocains s’est récemment rendue à Tel Aviv. Le ministère palestinien de l’Information réagit en appelant l’Union des journalistes arabes à prendre des mesures coercitives.
Après le festival Tanjazz, les militants anti-normalisation avec Israël ont mis le cap sur le prochain congrès de l’Istiqlal. Une cible qui surprend alors qu'ils s'étaient montrés silencieux à l’occasion de la Hiloula de Rabbi Haïm Pinto à Essaouira.