À Casablanca, au Parc de la Ligue Arabe, «la Serre» est installée de manière éphémère pour que l’art se réapproprie l’espace public.
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a divulgué un diagnostic préoccupant sur l’accès des marocains aux soins de base. Dans son rapport, le CESE déplore les fortes inégalités et la centralisation du secteur. Une réforme sanitaire est plus que jamais attendue.
Le Conseil de la concurrence vient de livrer une étude sur «la concurrence dans le secteur audiovisuel» qui fait état des grosses lacunes du Maroc en la matière. Vu la prééminence des chaines étrangères sur les nationales, l’instance estime que l’ouverture du marché aux chaines privées est une urgence, dénonçant le «monopole» exercée par les télévisions publiques.
La Santé est malade au Maroc. Le programme RAMED sensé assurer une couverture aux démunis est presque en rade. Un contexte auquel vient s’ajouter une nouveauté : le bras de fer entre le ministère de tutelle et les médecins. Un conflit qui risquerait de vider les hôpitaux publics des meilleures compétences. La première vague de démissions est lancée, consolidant ainsi l'existence de deux systèmes de
Elle est partout. Ubiquiste, polymorphe, omnipotente. Au Maroc, le cancer de la corruption étend ses métastases sur l’ensemble des secteurs. Après le public, c’est au tour du privé de passer sous les rayons du scanner de l’ONG américaine Transparency International. Diagnostic : ce dernier souffre aussi d’un état de corruption avancé. Le bilan.
Depuis sa nomination, le plus jeune des ministres du gouvernement Benkirane multiplie sorties médiatiques, visites aux chaines de télévisions du secteur public et rencontres avec des «journalistes électroniques» triés sur le volet. Les plus avertis sur les ravages de l’incompétence et de la corruption dans les medias marocains, suivent avec beaucoup d’intérêt Mustapha El Khalfi dans sa bataille contre cette