Alors que des médias espagnols décrivent les villes marocaines mitoyennes de Ceuta et de Melilla comme des «victimes silencieuses» de la fin des activités de contrebande, les présidents des deux cités crient à une tentative «d’étouffement économique» de leurs enclaves. Au milieu de cela, c’est surtout l’avenir des porteuses de marchandises qui reste incertain.