Dans le cadre de l’affaire du meurtre de Younes Blal en Espagne, en juin 2021, la partie civile a requis la peine maximale. Le tireur pourrait être condamné à jusqu’à 32 ans de prison ferme. Après la veuve du jeune homme, c’est l’Association des travailleurs et immigrés marocains en Espagne (ATIM) qui exige de qualifier les faits de «crime de haine».
Dans un rapport remis au Premier ministre français, deux députés sont revenus sur les actes antireligieux en France ainsi que «la multiplication des messages de haine sur les réseaux sociaux». Ils suggèrent notamment de «mieux connaître, prévenir et réprimer les actes antireligieux sur Internet» et de «mieux accompagner et informer les victimes».