Dans une initiative lancée par le Kenya et soutenue par le Ghana et le Gabon, le conseil de sécurité devrait tenir une réunion ce mercredi sur le drame migratoire, survenu vendredi à la frontière entre le Maroc et Melilla.
Dans une note adressée aux médias ibériques, l’ambassade du Maroc a dénoncé «l’extrême violence» des migrants ayant voulu franchir la frontière séparant le Maroc à Melilla, pointant au passage le «laxisme délibéré» de l’Algérie dans le contrôle de ses frontières avec le Maroc».