La demande américaine de nommer un nouvel envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental, a relancé la discussion sur ce sujet. Un poste vacant depuis la démission de l’Allemand Horst Köhler en mai 2019 pour officiellement des «raisons de santé.» Hier soir, la question a été soulevée lors du point de presse quotidien du porte-parole d’Antonio Guterres.
«Ce n’est pas par manque (...) de la part du Secrétaire général. Nous continuons nos recherches pour autant que je sache, mais il s’agit d’un poste compliqué pour lequel il a toujours été un peu difficile de trouver les bonnes personnes ou la bonne personne pour ce poste», a reconnu Stephan Dujarric.
Interrogé sur le même sujet, le porte-parole a déclaré le jeudi 4 mars que la désignation d’un nouvel envoyé «n'est pas le travail le plus facile sur la liste des Nations unies». «C'est un travail critique. Le Secrétaire général s'est efforcé de pourvoir le poste, mais comme dans beaucoup de ces nominations, tous les leviers ne sont pas entre ses mains, mais il fait sa part», a-t-il précisé.