Sites d’informations maghrébins, réseaux sociaux, … la question concernant les absences répétées et plus ou moins longues du roi Mohammed VI fait jaser. Si certains médias internationaux se sont contentés de relayer la rumeur, la chaine belge RTL est allée jusqu'à réaliser un reportage. Au Maroc, des éléments de la presse nationale s'insurgent contre le journaliste à l'origine de la
La régence est une institution assez marginale dans l’histoire de la monarchie marocaine. Dans les monarchies occidentales où elle a souvent eu cours, elle sert à suppléer, dans un système héréditaire par voie de primogéniture (autrefois mâle), à l’incapacité du titulaire du trône à exercer ses fonctions – généralement en raison de son trop jeune âge,
Après plusieurs jours de silence, le chef de gouvernement a rassuré, hier, l'ensemble de ses ministres affirmant qu’ils ont toujours la confiance du roi. A moins d’un coup de théâtre, ce cabinet pourrait continuer jusqu’en 2016. Chabat devra donc patienter trois années pour retourner à la primature à condition de basculer dans les rangs de l’opposition et s’allier avec l’USFP de son ami Lachgar. Pour
La crise à la majorité entame sa deuxième semaine. Le bout du tunnel est encore loin. Les deux protagonistes ne montrent aucun signe de souplesse. Pire, au fil des jours, leur antagonisme va crescendo. Dans ce contexte, l'Istiqlal propose de nommer un nouveau chef de gouvernement issu du PJD.
Hamid Chabat a maintes fois menacé de quitter le gouvernement si Abdelilah Benkirane n’opère pas un remaniement ministériel. Et il vient juste de la mettre à exécution. Le leader de l’Istiqlal laisse toutefois une porte de secours à son rival du PJD. Les prochains jours verront l’ouverture de négociations entre les deux partis rivaux.
Il y a quelques années, Nadia Yassine déclarait sa flamme pour le régime républicain. Son père, préférait un pouvoir basé sur achoura et s’opposait à la monarchie héréditaire. Son fidèle successeur, Mohamed Abbadi, est du même avis.
L’interview accordée par Fathallah Arsalane à l’AFP lui a servi de tribune pour faire la promotion de la Jamaâ au niveau international, soutenant que AWI accepte la liberté de conscience. Une manière pour le n°2 d la Jamaâ de ne pas laisser au roi prendre une longueur d’avance. Al Adl Wal Ihssane ne reconnait d'ailleurs pas le statut de commandeur des croyants au roi.
Le roi Mohammed VI poursuit la réforme du champ religieux, initiée depuis 2004. Aujourd’hui, un pas vient d’être franchi et non des moindres. Le monarque a assisté à la prière du vendredi à Safi. Le prêche de l’imam a été dédié à la liberté de conscience. Il n’était pas question de tuer l’apostat puisqu’il s’agit d’une liberté
Alors qu’une issue favorable semblait se profiler pour les familles espagnoles en instance d'adoption au Maroc, les choses trainent. Ces familles ayant multiplié les interpellations auprès des autorités chérifiennes, le Cabinet royal interpelle le département de la Justice.