J’avais juré ne plus écrire sur le Maroc. Mon pays, le pays de tous les paradoxes et de toutes les initiatives, les plus inutiles et les plus affreuses en particulier. N’en déplaise à certains ennemis de notre chère patrie adorée. Mais là, c’est plus fort que moi.
Le rapprochement entre le PJD et Al Adl Wal Ihsane se précise. Le n°2 de la Jamaâ a mis de l’eau dans son vin lorsqu’il a abordé l’action du gouvernement Benkirane, au point de lui trouver même des excuses. En revanche, il n’hésite pas à critiquer ouvertement le roi et l’entourage royal. Auparavant AWI évitait, dans ses réquisitoires, de citer nommément le roi. Détails.
"L’indexation n’a aucun impact sur la paix sociale au Maroc" ; "c’est une décision souveraine et non en réponse aux dictats des institutions financières internationales" ; "le roi est le garant de la stabilité" ; et "les Marocains ne vont pas manifester à cause de quelques centimes de plus dans les prix des carburants"; ce sont là les arguments présentés par le ministre Mohamed Najib Boulif pour
Un film-documentaire, qui se penche sur la situation actuelle du cinéma au Maroc, vient d’être mis en ligne. Très critiques envers le Centre cinématographique marocain, les réalisateurs de ce projet, qui se définissent comme «artivistes», se sont jurés d’aller au-delà des censures. Détails.
Le nouveau gouvernement Benkirane n'est pas encore connu, mais Nizar Baraka, ministre démissionnaire a déjà trouvé un nouveau point de chute. Le souverain vient de le nommer à la tête du Conseil économique, social et environnemental.
Vous avez suivi l’affaire DanielGate, ici et encore ici ou ailleurs, et vous vous êtes tous rendus compte que le système des grâces royales ne marchait pas – et pas seulement pour cause d’erreur humaine.
Arrêté en Espagne lundi, dans la journée, Daniel Galvan est d’ores et déjà derrière les barreaux. Le juge de l’Audience nationale a décidé, ce mardi matin, de le placer en détention préventive de peur qu’il prenne la fuite. Le Maroc a un délai de 40 jours pour déposer une demande d'extradition.
Une nouvelle famille vient s’ajouter à la longue liste des victimes de spoliations immobilières au Maroc. Dans une vidéo mise en ligne vendredi, Fatima Bajjouk, une Marocaine installée aux Etats-Unis, affirme que les documents de propriété de sa maison, située à Casablanca, dans le quartier Bourgogne, ont été falsifiés par une bande spécialisée. Explications.