Les images avaient fait le tour des médias en Suède et du monde. Début février, un jeune marocain avait été brutalement arrêté dans une gare ferroviaire à Malmö. Depuis, les Suédois se sont mobilisés pour aider la victime dont le père resté au Maroc doit subir une intervention chirurgicale. Sami est aussi revenu sur son parcours de combattant en Europe.
Mohamed Laamarie, un Marocain de 65 ans en séjour à Bruxelles souffre d’une maladie du cœur et doit être opéré. Vu la cherté de l’opération, le roi Mohammed VI a décidé de prendre en charge une partie des frais hospitaliers. Un élan de générosité qui a particulièrement touché ceux qui se sont mobilisés pour venir en aide au malade.
Plusieurs personnes se sont rassemblées ce vendredi soir devant les locaux de l’AFP, à Rabat, pour un sit-in de deuil et de solidarité avec Charlie Hebdo. Des Marocains, mais aussi plusieurs ressortissants français et étrangers ont participé à la manifestation. Détails.
Les autorités marocaines ne réagissent pas toujours de la même façon aux mouvements de solidarité avec les sinistrés des récentes inondations. Parfois, elles autorisent des caravanes et des campagnes de collectes d’aides en faveur des victimes. Mais dans d’autres cas, elles brandissent l’interdiction et la matraque. C’est ce qui s’est passé, le 28 décembre, à Casablanca.
Selon le ministère de l'Education nationale, les fortes pluies qui se sont abattues dans les provinces du Sud ont causé la fermeture de 622 écoles dans les régions de Souss-Massa-Draa et de Guelmim-Es-Smara, empêchant des enfants de poursuivre leurs études. Les associations se mobilisent pour venir en aide aux populations des zones sinistrées et revèlent que celles-ci vivent dans la peur de revivre une telle «catastrophe».
La twittoma a été touchée par les dégâts causés par les intempéries qu'a connues le Maroc ces dernières semaines. Elle s’est mobilisée à travers une opération dénommée #100DHpouraider afin de collecter des fonds pour les victimes. L’opération a reçu un écho très favorable puisqu’en moins de 24 heures seulement le cap des 100 000 DH a été
Ayoub vit à Tanger, au Maroc et est atteint de leucémie. Sans ressources, les parents n’ont aucun moyen de le soigner. La solidarité dont ils ont besoin, ils l'ont trouvée à des milliers de kilomètres de chez eux, à Bruxelles.
L’effondrement de trois immeubles à Casablanca et la gestion de la catastrophe a davantage fragilisé les autorités locales de plus en plus sur la défensive. Le 16 juillet, elles diffusaient un communiqué dénonçant les critiques des médias sur l’action de la protection civile. Hier soir, elles poursuivent leur fuite en avant en interdisant des membres de la société civile de distribuer des aides aux