Désert, mer, montagnes… De tout temps, les frontières naturelles ont servi de barrières pour les migrations de population. Aujourd’hui, face au drame migratoire qui se joue devant nos yeux, ces espaces sont devenus les tombeaux où meurent des milliers d’aspirants à la dignité. Triste constat en cette journée internationale du migrant.
Après la répression brutale d’un sit-in tenu samedi devant le Parlement à Rabat, place à la version que se livrent les deux camps. Alors que la préfecture de police brandit les textes de loi pour justifier son intervention, le mouvement «Marocaines contre l’emprisonnement politique» apporte un tout autre son de cloche. Détails.