Sans attendre un éventuel verdict de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) en faveur du Polisario, comme en décembre 2016, le Maroc a décidé d’agir sur deux fronts. Politique, marqué par les visites d’Aziz Akhannouch et Nasser Bourita à Bruxelles ; et professionnel, avec les réunions des patrons de pêche marocains et espagnols à Tanger et Cadix.