Des négociations concernant le future du Sahara sont prévues aux Etats-Unis, entre le Maroc et le Polisario, le 18 et 19 juin à New York. Certains craignent un possible échec, vu les désaccords sur la constitution de la délégation marocaine. N’empêche que ce dossier est fortement présent dans les pourparlers entamés ces derniers jours par les responsables espagnols avec Paris, Washington et l’ONU.
L’indexation basée sur une inflation de 2%, proposée par Driss Jettou la semaine dernière, n’est pas pour plaire aux centrales syndicales. Alors que le dialogue social n’est pas encore ouvert, l’UMT ouvre les hostilités.
Ahmed Errachidi a passé cinq années à Guantanamo. Libéré la semaine dernière, il a été livré aux autorités marocaines. Depuis, ni sa famille ni ses avocats n'ont de nouvelles de lui.
Le Maroc toujours aussi bien placé quand il s’agit de corruption. Il se hisse piteusement encore une fois tout en haut de l’échelle de mesure adoptée par Transparency International, pour occuper la position de vice champion du monde en la matière. Le résultat n’est une surprise pour personne. Le gouvernement fait mine de s’en soucier depuis quelques années déjà. Après s’être fait taper sur les doigts en 2005, il est décidé aujourd’hui à prendre le taureau par les cornes.
Un petit conte populaire arabe de l’époque (abbasside) des Mille et une Nuits, qui a traversé les siècles sans perdre ce côté fascinant et merveilleux qui le caractérise, nous raconte l’histoire d’une vieille lampe magique qui pouvait réaliser tous les rêves de celui qui la possédait. Il suffisait que les doigts de l’enfant Aladin la frottent pour qu’un génie apparaisse et lui propose d’exaucer tous ses désirs: « Maître, vous m'avez appelé, que désirez-vous ».
Ces dessins dans un pays où l’extrême droite a fait plus de 13 % des suffrages aux dernières élections législatives et où le débat public sur l’islam est particulièrement radical, ne pouvaient que susciter la polémique. Pour Tøger Seidenfaden, directeur de la rédaction du quotidien danois Politiken, « Il y a volonté d'offenser, car c'est dans la logique présente de l'atmosphère politique au Danemark. La recette à succès, en politique et dans les médias, c'est de dire que
Il y a une centaine de jours, les marocains du monde entier s’étaient unis pour demander la libération des deux otages marocains détenus par El Qaida, Abderrahim Boualam et Abdelkrim El Mouhafidi. Aujourd’hui, nos deux compatriotes sont toujours détenus quelque part en Irak…Leur sort reste inconnu pour le moment, aucune nouvelle depuis ce mémorable 20 octobre 2005.