Le forum de Paris délocalisé à Casablanca a eu lieu hier à l'hôtel Hyatt Regency. Un gratin de personnalités s'est réuni pour discuter des défis économiques et politiques en Méditerranée. Vaste débat où ont été évoquées les difficultés à réaliser une intégration régionale plutôt économique que politique.
La communication gouvernementale, au sens d’«un service public» et non pas de «propagande» idéologique qui viserait l’endoctrinement et le contrôle des opinions et des initiatives, est un des outils privilégiés de sensibilisation, d’explication et de dévoilement des politiques publiques dans les plus grandes démocraties participatives. Au Maroc, c’est l’une des failles abyssales du système
Aujourd’hui, l’immolation par le feu est devenue un fait social. Au Maroc, diplômés chômeurs retraités, posent cet acte pour exprimer leur exaspération face au système en place. Le cri qu’ils émettent, même porté par la voix la plus enragée possible ne suffirait pas pour exprimer ce qu’ilségalement adoptée au Maroc comme un moyen de se faire entendre. Ce qui devrait attirer un peu plus
Le premier pays à bénéficier du programme de soutien à la démocratie proposé par le Conseil de l’Europe en accord avec l’Union européenne est bien le Maroc. Une façon pour l’Europe d’honorer ses engagements dans le cadre des relations de bon voisinage avec le Royaume chérifien. Mais où en est la démocratie au Maroc?
Les informations en provenance de Madrid ont de quoi dérouter plus d’un. Un jour on apprend que le nouveau gouvernement espagnol, «évidemment» contre l’Accord agricole Maroc – Union européenne (UE), déploie déjà toute son énergie, mobilise ses lobbies et ameute ses amis partout en Europe, pour que son rejet par la commission de l’agriculture du parlement européen, en juillet dernier, soit confirmé
Les pêcheurs marocains acclament la décision du gouvernement de mettre un terme à la flotte communautaire dans les eaux nationales. Pas de négociation possible au sujet l’extraction directe des ressources halieutiques. Alors que les Espagnols font maints recours pour obtenir un nouvel accord sur la base des conditions antérieurs, ne risquent-ils pas d’être déçus ?
Le 29 novembre 2011, la consécration d’une année politique très mouvementée a eu lieu à travers la nomination par le souverain du Secrétaire général du Parti de la Justice et du Développement (PJD), en tant que chef du gouvernement ainsi que de son équipe.
Quand les patrons algériens décident d’investir au Maroc afin de jouir de la proximité géographique, l'ouverture définitive de la frontière semble se profiler comme une urgence.
La période de grâce, fixée de manière moutonnière à 100 jours, est rapidement en train de s'épuiser pour le gouvernement dirigé par Abdelillah Benkirane (PJD). Prédictions, pronostics et supputations abondent, et chacun – moi inclus - (voir l'article) rédige sa liste de priorités (voir lien) auxquelles le gouvernement devrait s'atteler de toute urgence.
Les ministres du PJD tentent de donner l’exemple en renonçant à certains privilèges gouvernementaux. Certains renoncent aux voitures de fonctions alors que d’autres continuent de loger dans leurs anciens appartements. «Populisme» et «gestes théâtreux», crient des éditorialistes dans la presse marocaine.