Que s’est-il passé au sein de l’équipe du ministre en charge de l’Economie numérique, Moulay Hafid Elalamy pour déposer un projet de loi aussi important au Secrétariat général du gouvernement alors qu’il n’a pas été soumis à la consultation des acteurs du secteur ?
L’ONG américaine Human Rights Watch (HRW) a demandé au ministre marocain de l’Emploi et des Affaires sociales, Abdeslam Seddiki, de réviser le projet de loi sur les travailleurs domestiques. HWR veut que le royaume amorce un réel changement dans une région qui a un très grand nombre de travailleurs domestiques, mais qui est à la traîne quant à leur protection juridique.
Des députés marocains, de majorité comme de l’opposition viennent de rédiger deux propositions de loi interdisant tout rapprochement avec Israël. Entre 2 à 5 ans d’emprisonnement sont prévues contre les «normalisateurs» et des amendes pouvant atteindre le million de dirhams.
L’apparition de fameuse circulaire de Mustapha Ramid, ministre de la Justice, en septembre 2012, complétant la loi de 2001 sur la kafala, a provoqué un imbroglio pour les Marocains résidant à l'étranger (MRE). Autour de cette circulaire se sont cristallisés les mécontentements de familles kafiles dont certaines se sont constituées en association ou en groupe d'action. Le GAK ou Groupe Action Kafala Belgique souhaite par cette
Il y a les éditorialistes, écrivains, académiciens, universitaires, journalistes, bloggeurs, fast-thinkers et même militants des droits de l’homme (l’inénarrable Robert Ménard en France, ou le consternant Belge Edouard Delruelle, président démissionnaire du Centre (belge francophone) d’égalité des chances qui exprime son antiracisme en soutenant une interdiction totale des signes religieux
Une année après l’éclatement de l’affaire des primes qu’auraient échangé l’ancien ministre des Finances, Salaheddine Mezouar (octobre 2007-janvier 2012) et le trésorier général du royaume, le PJD s’attaque aux rémunérations des hauts cadres de la fonction publique. Son groupe à la Chambre basse du parlement a déposé, en ce sens, une proposition de loi. Reste à
Jeudi dernier, le Conseil du gouvernement a adopté le projet de loi règlementant le travail domestique. Le texte aborde la question du travail des «petites bonnes» en renforçant à peine les sanctions en cas d’embauche d’une fillette de moins de 15 ans. Déception du monde associatif.
Les récents remous provoqués par une proposition sénatoriale de résolution relative à la lutte contre l'islamophobie ont fait resurgir les vielles antiennes sémantiques autour du terme «islamophobie» et ce débat n’est pas terminé du fait qu’un second texte se prépare en réaction à ladite proposition «islamophobie».