Alors que le phénomène des jeunes qui partent en Syrie et en Irak pour combattre dans les rangs des groupes jihadistes continue d’alimenter les débats, notamment en Europe, l’artiste d’origine marocaine Ismaël Saïdi vient apporter sa contribution pour faire comprendre la question. Dans une pièce humoristique, intitulée «Djihad», il évoque l’histoire de trois jeunes jihadistes qui découvrent une autre
Alors que quatre présumés jihadistes ont été encore arrêtés jeudi à Marrakech et Laâyoune, dans le sud, le nord marocain reste aussi une zone où opèrent plusieurs réseaux de recrutement. Dans les quartiers pauvres de Tanger comme Béni Makada, à Nador et à Melilla, ces recruteurs emploient toutes sortes de moyens pour convaincre la jeunesse de partir faire le jihad. Les témoignages sur France
20 étudiantes françaises d'origine marocaine ont rejoint l'Etat Islamique en Irak et en Syrie. Selon des sources de l'EI, elles auraient rejoint leurs époux respectifs.
Après trois mois d’attente, le tanker United Leadership s’est résigné à quitter les eaux marocaines. Le royaume a ainsi cédé aux pressions du gouvernement irakien en annulant un contrat d’achat de la première cargaison de pétrole kurde dont la valeur est estimée à 100 millions de dollars.
La guerre d’Obama contre l’Etat islamique a besoin de soldats puisque les frappes aériennes sont loins d'être suffisantes. Les pays sunnites sont sollicités pour envoyer des troupes en Irak combattre les jihadistes de EI. Le Maroc en ferait-il partie ?
Les "brigades de la vertu" marquent leur présence à Tanger en fouettant un jeune, apparemment en état d'ébriété. Un incident grave qui est à l'origine d'un déplacement d'une équipe de la BNPJ pour y mener une enquête. Les faits se sont produits à Béni Makada, un haut lieu du salafisme d'où sont partis plusieurs combattants des groupes radicaux en Syrie et en Irak.
L’Organisation des Nations Unies a dénoncé ce lundi le nettoyage ethnique et religieux qui se déroule actuellement en Irak. L’ONU accuse l’Etat Islamique et certains groupes armés associés de «graves et horribles violations des droits de l'homme». Dimanche, le Maroc avait aussi exprimé son indignation face aux crimes contre les «innocents» et dénoncé l’exécution de James Foley.
Les frères de Benkirane sont dans l’embarras. Un des leurs a rejoint les rangs de l’Etat islamique. Les services de renseignements sont également dans la même situation. Ils n’ont pas eu vent des plans de l’ancien PJDiste.