En mars 2019, le Maroc a rapatrié huit de ses ressortissants ayant combattu dans les rangs de Daesh en Syrie. Depuis, les appels au retour des femmes et leurs enfants se multiplient.
L’arrivée surprise des socialistes au pouvoir en Espagne, suite aux législatives du 14 mars 2004, avait irrité les Etats-Unis au point d’examiner de rompre un vieux accord militaire datant de 1953.
Face au silence officiel du Maroc, des chiites marocains ont commenté la mort du général iranien Qassem Soleimani. Ils considèrent cet acte comme criminel et que les Etats-Unis n’en mesurent pas les conséquences. L’occasion pour eux de fustiger les «sionistes», les «wahhabites» et les affilés aux Frères musulmans qui se sont réjouis de la mort de ce haut commandant des Gardiens de la révolution
Face aux longues procédures de retour des jihadistes marocains engagés auprès de Daech en Syrie et en Irak, comme annoncé il y a un an par le gouvernement El Othmani, une centaine de nationaux risque la condamnation à la peine de mort, si leur comparution devant une cour irakienne se précise.