C’est un rapport peu flatteur que vient de rendre la Banque africaine de développement sur les transferts illégaux de devises en Afrique, qui vient confirmer les précédentes publications sur le cas du Maroc. Cependant, les autorités marocaines semblent fermer les yeux sur cette réalité, loin d'être en faveur de l’économie nationale.
Le Banque africaine de développement propose dans une note économique d'aider les pays qui bénéficient d'une vaste diaspora à émettre des obligations qui lui soient spécifiquement dédiées. Dans une situation budgétaire délicate, le Maroc pourrait-il profiter de l'exemple offert, en la matière, par Israël et l'Inde ?