La Banque africaine de développement (BAD) vient de publier ses perspectives économiques sur le continent. Remarquant qu'en dépit des avancées de 2014, les inégalités persistent et le chômage des jeunes reste important, l’institution recommande - entre autres - au royaume de capitaliser sur cette frange de sa population.
Une nouvelle étude de la Banque africaine de développement (BAD) vient de paraître sur l’investissement direct étranger (IDE) et sa participation au bien-être de la population en Afrique du Nord. De manière générale le bilan est positif, mais concernant le cas du Maroc, l’institution continentale note des limites à la contribution de ces investissements au bien-être des Marocains. Détails.
La Banque mondiale, avec plus de 11 milliards de dirhams de prêts engagés en 2013, puis en 2014, est devenue le premier bailleur de fonds mulitlatéral du Maroc. Elle détrône désormais la Banque africaine de développement.
Comme à l'accoutumée, la Banque Africaine de développement (BAD) a loué, mardi à Rabat, ses relations de partenariat avec le Maroc. Ce qui ne l'a cependant pas empêché de dénoncer des irrégularités dans la gestion financière de quelques projets, dans lesquels elle s'est engagée. Rabat est appelé à suivre les recommandations de la BAD, au risque de perdre le financement sur certains projets.
En marge des assemblées générales de la Banque africaine de développement qui se sont tenues, du 27 au 31 mai à Marrakech, la Tunisie a tenté d’écarter le Maroc du conseil d’administration de la BAD. Une opération qui s’est soldée, hier, par un échec. Un échec qui s’ajoute à ceux de la perte du siège de la BAD au profit de la Côte d’Ivoire et la baisse, pour la