La vague de condamnation en Mauritanie des propos d’Ahmed Raissouni, tranche avec le silence qu’a observé Nouakchott lorsque le président algérien, Abdelmadjid Tebboune a traité le voisin du sud de pays faible et face aux menaces répétées par le chef du Polisario. Un deux poids deux mesures, flagrant.