L’embargo sur le pétrole russe, instauré par l’Union européenne, a produit une vaste opération de détournement internationale qui bénéficie à certains acteurs comme en Inde et au Maroc.
Plusieurs partis marocains, tels le RNI, le PJD, l'USFP, le PAM et le PPS, condamnent l’accueil réservé par le président Kaïs Saïed au chef du Polisario. Un changement de cap de la diplomatie tunisienne qu'ils ne comprennent pas alors que Tunis avait toujours pris soin de rester sur une position de neutralité entre Rabat et Alger.
C’est un classique de la politique marocaine. A chaque élimination des Lions de l’Atlas d’une édition de la Coupe africaine des nations, les partis de l'opposition se saisissent de cet échec pour fustiger la mauvaise gouvernance du football national. Cette année, une différence de taille : le président de la Fédération de football est également ministre au sein du gouvernement Akhannouch.