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Le visa de Jamel Debbouze pour l'Algérie refusé
c
7 octobre 2006 20:16
Le visa de Jamel Debbouze pour l'Algérie refusé


agrandir la photo

PARIS (AFP) - Le visa demandé par le comédien Jamel Debbouze pour venir présenter en Algérie son film "Indigènes" a été refusé, a indiqué samedi à Paris le producteur du film Jean Bréa.

Selon le producteur, les raisons de ce refus n'ont pas été indiquées par les autorités algériennes.

Une demande de visa pour l'Algérie avait été déposée il y a une dizaine de jours par Jamel Debbouze qui devait venir présenter ce film sur les anciens combattants coloniaux, dans lequel il a l'un des rôles principaux, à la population d'Alger samedi soir, à l'Algeria, l'une des plus grandes salles de cinéma de la capitale algérienne.

Le refus de visa a été confirmé à Alger par Caroline Aymard, chargée de la promotion du film.

Le réalisateur du film Rachid Bouchareb était cependant attendu à Alger pour assurer la présentation de cette oeuvre, qui a grandement contribué à la décision de la France d'attribuer à tous les anciens combattants coloniaux la même pension que les Français
z
7 octobre 2006 20:46
Pfff, la betise humaine, et on vient nous dire que la haine vient du cote marocain. P-L et autres, qu'avez-vous a repondre a cette decision? Tjs a tenir le tambour battant derriere les generaux sous les paillettes en chantant une pseudo-democratie? Vous etes neutres j'imagine...
7 octobre 2006 21:00
Pathétique. La politique dyal zzan9a.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/10/06 21:03 par Hamid.
"Avec un H majuscule"
g
7 octobre 2006 21:02
le plus malheureux dans l'affaire c'est que nos cousins algeriens ne sen rendent meme pas compte que rien n'a changé en algerie depuis 1962 sauf la parenthèse de 91.
les memes causes engendrant les memes effets je crains beaucoup un recommencement de l'histoire tragique de ce pays qui n'en finit pas d'apprendre

un nouveau 5 cotobre qui va au bout leur est necessaire pour se debarasser du fln une fois pour toute
b
7 octobre 2006 21:54
Les responsables algeriens n'ont rien compris. Ils s'attaquent a un artiste star que les projecteurs des medias ne quittent pas en ce moment et dont la sympathie atteint des sommets pas seulement pour le film ou il vient de jouer.

Il pourrait les incendier dans les medias s'il le voulait et ils n'auront que des torchons comme l'expression que personne ne lit ni croit pour se defendre.

On reconnait l'amteurisme melé de mentalité bolchevique.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/10/06 22:00 par bikhir.
s
7 octobre 2006 22:14
deja l'année derniere, il me semble, les autorités algeriennes avaient refusé de delivrer le visa à jamel debbouze pour son spectacle qui devait se tenir à alger....maintenant, le film......Quelle est la vraie raison?



Modifié 2 fois. Dernière modification le 07/10/06 22:15 par sawsen9.
a
7 octobre 2006 22:21
Djamel aurait pu contourner l'obstacle visa en faisant un passeport marocain, pour lequel l'Algérie ne demande plus de visa grinning smiley
Ceci étant c'est une attitude indigne, qui ne fait pas honneur au peu de crédibilité dont bénéficie cette junte de mercenaires.
7 octobre 2006 22:26
La vraie raison réside dans le fait que le maroc mène la vie dure à la diplomatie algérienne ( Sahara marocain - ONU ), alors l'échec algérien se venge sur J. Debbouze , d'origine marocaine, ( en lui refusant le visa ).
D
7 octobre 2006 22:34
Citation
demha a écrit:
La vraie raison réside dans le fait que le maroc mène la vie dure à la diplomatie algérienne ( Sahara marocain - ONU ), alors l'échec algérien se venge sur J. Debbouze , d'origine marocaine, ( en lui refusant le visa ).

Salam,

Tout à fais, on lui reproche qu'il soit marocains et amis du Roi, raison encore plus debile.

Bref, ils accueillent un criminel comme rumsfeld, mais un vulgaire artiste comme debbouze, que neni, very ridicoulous position moody smiley
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
S
7 octobre 2006 23:24
c est incroyable et je n en reviens pas, un artiste est la pour rapprocher les peuples, Debbouze n est pas venu en tant que diplomate marocain, mais simplement en tant qu artiste et a cause de son film, les meme combattants algeriens verront leurs soldes rehaussees.
le crime ne paye pas, mais il occupe
a
8 octobre 2006 00:42
Pourquoi vous semblez si étonné que cela, le peuple Algerien n'est en rien dans tout cela , je suis sûr que la jeunesse AlGERIENNE EN fRANCE OU EN ALGERIE AdoreE jAMEL debbouze.

En revanche ce regime pourri en place a prouvé par le passé qu'il n'avait aucun respect pour les artistes, il a collaboré au meurtre d'un garnd nombre d'artistes Algeriens et actuellement il extermine à petit feux tout ce qui reste d'intellectueles en ALgerie.
Après, tout le monde s'étonne de la fuite des cerveaux Algeriens.
Ce pouvoir n'est là que pour s'engraisser et cacher les devises à l'étranger ,le peuple il peut crever il n'en a rien à ....

C'est vraiment désolant.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/10/06 00:51 par azl95.
c
8 octobre 2006 00:47
j'espere que jamel a pris note de ceci pour son futur sketchClap
8 octobre 2006 02:52
Voilà un article de la presse algérienne qui dit bcp de choses très édifiantes ,
Tous les détails ici :

[www.theworldpress.com]
z
8 octobre 2006 04:41
Un article qui porte bien son nom "Myopie", on pourrait utiliser le meme superlatif pour decrire la politique de "bon voisinage" d'Alger. L'ex-URSS ne pouvait pas faire mieux.




[www.elwatan.com]


Myopie

Fellag avait écrit dans l’un de ses sketchs que « nous, les Algériens, quand nous atteignons le fond, nous continuons à creuser ». Ce grand humoriste ne faisait que caricaturer une réalité plus qu’amère. Aujourd’hui, tous les citoyens savent que leur pays a atteint un état de déliquescence avancé, que la gabegie, la corruption, l’incompétence sont devenues des signes distinctifs en matière de gestion. Parmi les secteurs touchés par le phénomène, il faut citer celui de la culture en général et du cinéma en particulier. Le film Les indigènes de Rachid Bouchareb doit en principe relancer le débat sur le sujet si, bien entendu, les hommes à la tête de ce pays acceptent de prendre leur responsabilité et de faire un bilan critique de leurs actions. Dans El Watan de ce jeudi, le réalisateur ne cache pas sa déception à l’égard de l’Algérie, révélant que « le projet du film a dormi trois ans dans le bureau du PDG de l’ENTV », et que le ministère de la Culture lui « a promis 4 millions de dinars », dont il n’a jamais vu la couleur jusqu’à ce jour. Dans une interview en date du 26 décembre 2004 et parue dans le même journal, il avait lancé un appel pathétique aux auritotés algériennes pour l’aider à réaliser le film. Et c’est le Maroc qui répondra à son appel. Le roi Mohammed VI et le grand humoriste Djamel Debbouze, et c’est à leur honneur, ont mis le paquet pour que le projet soit concrétisé. Grâce à eux et à Bouchareb, une injustice historique a été réparée. Tous les anciens tirailleurs, les Algériens en tête, vont désormais bénéficier d’une pension digne de leur sacrifice. C’est scandaleux que l’Algérie n’ait pas participé à la réparation de cette injustice et à la création d’une œuvre culturelle qui la concerne. Mais il n’y a rien d’étonnant à cela. Depuis un quart de siècle, le pouvoir algérien a fait de ce pays un désert culturel. Ce domaine n’a pas été confié à des hommes et des femmes idoines, mais à des imposteurs qui se sont révélés les fossoyeurs de la chose culturelle. Adieu l’époque où notre cinéma s’était imposé sur la scène internationale. Adieu l’époque où notre littérature était appréciée et traduite dans des dizaines de pays. Le baâthisme, chantre de la contre-culture par excellence est passé par là. Nos cinéastes, nos écrivains, nos peintres sont allés sous d’autres cieux trouver la reconnaissance d’un talent que les leurs leur refusaient. Au pays de l’inculture dominante, c’est à peine si on a salué, et avec du retard, l’entrée de Assia Djebbar à l’Académie française. Le théâtre de Slimane Ben Aïssa fait un tabac en Europe, mais personne ici ne semble s’en émouvoir. Fuyant le terrorisme islamiste, Rachid Mimouni est allé mourir en exil, au Maroc. Fellag et Idir sont devenus des bêtes de scène dans le monde, mais presque inconnus dans leur pays qui les ignore de façon démente. Le peintre Korichi fait les beaux jours des galeries tunisiennes. Et le dernier-né des grands écrivains algériens, Yasmina Khadra, a lui aussi choisi l’exil pour obtenir une reconnaissance universelle, sans ça, il serait resté dans l’anonymat. Ils sont des centaines à vivre à l’étranger alors que leur pays a besoin d’eux. Ce n’est pas de leur faute. C’est la faute à ce système intolérant et prédateur qui s’est imposé par la violence au peuple algérien.

Tayeb Belghiche
H
8 octobre 2006 07:25
Je trouve ça triste pour nos frères algérien, ils subissent leur gouvernement et par fièrté ne peuvent le dénoncer!

Bref, quoi que l'on me dise le gouvernement algérien est anti marocain (Raciste) et sa population est seulement son otage. Les algériens devraient essayer de voir leur pays avec un peu de recul. Nous marocains, savons que notre pays subit des injustices, de la pauvreté, et plein d'autre problemes, mais nous savons aussi que notre pays, est dans une bonne voie, Nous faisons beacoup de sacrifice pour ça.

Et nous marocains n'oublions pas que les premieres victimes de se regime sont les algériens! Nous devons comprendre leurs positions, ils savent qu'ils sont dirigés par une mafia puissante qui sont les généraux, et ils doivent garder la tête haute devant le monde, ils vivent un moment difficile de leur histoire.

Essayons juste de les voir comme d'autres musulmans, un jour il ferons leur mea culpa.
8 octobre 2006 09:57
Citation
demha a écrit:
Voilà un article de la presse algérienne qui dit bcp de choses très édifiantes ,
Tous les détails ici :

[www.theworldpress.com]


Oui en effet :



Refus inexpliqué de visa pour le comédien franco-marocain
Jamel Debbouze interdit de séjour en Algérie



Ce qui n’était qu’une rumeur de mauvais goût a fini par être confirmé, hier, en début de soirée. Le célèbre comédien franco-marocain, Jamel Debbouze, a effectivement essuyé une fin de non-recevoir à sa demande de visa d’entrée en Algérie pour la promotion du film Indigènes dans lequel il tient le rôle principal. par l’AFP.

C’est le producteur lui-même, Jean Bréa, qui a confirmé la (mauvaise) nouvelle hier. « Les autorités algériennes ont refusé de délivrer un visa au comédien Jamel Debbouze qui désirait se rendre en Algérie pour présenter le film Indigènes », a, en effet, indiqué hier à Paris le producteur Bréa, interrogé Jean Bréa a ajouté qu’il ignorait les raisons de ce « niet ». Le producteur précise que le comédien a déposé une demande de visa pour l’Algérie depuis une « quinzaine de jours », en prévision de la présentation du film sur les anciens combattants coloniaux. Une précision qui a le mérite de battre en brèche l’autre rumeur selon laquelle le concerné n’aurait pas demandé le précieux document. On sait, désormais, que ce sont les autorités algériennes qui ont sciemment refusé d’accueillir le comédien dans la mesure où même la chargée de la promotion du film, Caroline Aymard, a également avoué, hier à Alger, que Debbouze n’a pas obtenu son visa. Il faut dire que cette décision était déjà dans l’air puisque toutes les administrations directement concernées par cette affaire n’ont pas voulu confirmer ni infirmer la nouvelle. Ni le ministère des Affaires étrangères ni celui de la Culture n’ont répondu à nos questions durant toute la journée d’hier alors que le consulat d’Algérie à Paris était resté injoignable. Ce silence calculé dénote, à l’évidence, le souhait des autorités à ce que « ce refus » pas très diplomatique, ne fasse pas les choux gras des médias. Or, il s’agit tout de même d’un grand comédien qui plus est participe dans une œuvre cinématographique qui, curieusement, renforce l’argumentaire des autorités algériennes sur les bienfaits de la présence des indigènes dans… l’armée française. Même le président français Jacques Chirac a dû céder à l’émotion du film en décrétant, tout de suite après, la mise à niveau des pensions des anciens combattants issus des ex-colonies françaises avec celles des nationaux de la métropole. Ce fut là le premier avantage collatéral d’un film qui n’aurait pu voir le jour sans le talent du réalisateur Bouchareb mais surtout de Jamel Debbouze. Il se confirme ainsi que cet artiste est officiellement déclaré persona non grata en Algérie. Son péché ? Avoir soutenu la version marocaine (son pays d’origine) relative au conflit du Sahara-Occidental. C’est du moins la seule « lecture » qui pourrait être faite de ce refus en l’absence d’une explication officielle des autorités. Quelle ne fut la surprise des nombreux fans algériens de Jamel Debbouze de voir son spectacle annulé sine die. On a découvert qu’il était un sympathisant du roi et de « l’intégrité territoriale de son royaume ». Au-delà du fait que les positions, « accessoirement politiques » de Jamel Debbouze soient parfaitement compréhensibles par le fait même qu’il soit sujet de Sa Majesté, on se demande pourquoi les autorités marocaines n’ont pas fermé les portes devant Khaled et Mami qui font un tabac à Casablanca, Marrakech et Rabat. Faut-il donc exiger de toutes les célébrités qui veulent venir en Algérie de montrer patte blanche sur le dossier sahraoui avant de leur accorder le fameux visa ? Cela rappelle étrangement les péripéties vécues par un autre monument de l’art, Enrico Macias en l’occurrence qui, en 2000, n’a pas pu faire son pèlerinage dans son pays natal pour avoir soutenu Israël par rapport à la Palestine. C’est dire, tout compte fait, que les autorités algériennes ont encore une fois maladroitement politisé une histoire d’artiste pour lui donner une dimension malheureusement scandaleuse. Et au train où vont les choses, même Zinédine Zidane devrait subir un test s’il était politiquement correct avant de renter chez lui…

Hassan Moali

EL Watan le 8 octobre 2006



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/10/06 10:53 par Hamid.
"Avec un H majuscule"
8 octobre 2006 12:14
Citation
andi espoir a écrit:
Djamel aurait pu contourner l'obstacle visa en faisant un passeport marocain, pour lequel l'Algérie ne demande plus de visa grinning smiley
Ceci étant c'est une attitude indigne, qui ne fait pas honneur au peu de crédibilité dont bénéficie cette junte de mercenaires.


Ils l'auraient très vraisemblablement refoulé à la frontière...
"Avec un H majuscule"
f
8 octobre 2006 12:16
Je theorise,..mais on a vu des cas semblables chez des peuples helas plus evolués que nous.

Je pense que Mr. Debouze doit porter son cas devant le conseil de l'UMA, d'un coté il la fait sortir de sa lethargie, de l'autre coté il peut procurer une clé de sesame en creant un cas de jurisprudence pour le autres citoyens maghrebins lambda.
Le maghreb doit etre ouvert a tous ses cityoens, les artistes en premier.

L'amateurisme de nos gouvernants est un abime

wa rabi yssafi legloub
a
8 octobre 2006 13:27
Le pire dans tout ça, c'est que Jamel a pour autre projet en tête, de faire un film sur le massacre de Sétif en mai 1945, où la France a massacré comme des animaux 40 à 50 000 villageois algériens.

Cette mafia de généraux tortionnaires est inculte et complètement déconnectée de la réalité.
Les algériens sont devenus des séquestrés dans leur propre pays.
a
8 octobre 2006 13:57
il est trop naze ce bouteflika , le napoleon en herbe
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
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