Les troubles alimentés par une grogne sociale persistante ont éclaté lundi, à l'approche du septième anniversaire de la chute du dictateur Zine el Abidine Ben Ali le 14 janvier 2011, chassé du pouvoir par une révolution réclamant notamment "travail", "dignité" et la fin de la corruption.
Le mois de janvier est traditionnellement marqué par une mobilisation sociale en Tunisie depuis la révolution de 2011. Le contexte est particulièrement tendu cette année à l'approche des premières élections municipales de l'après-révolution, plusieurs fois reportées et prévues en mai.
Le président de Tunisie était placé par un pays tiers pour éjecter Marzouki l'ami du Maroc Il se trouve que le président actuel de Tunisie n'est plus ni moins que Ben ALi Les tunisiens sont intelligents ils ont mis du temps pour comprendre, il ne faut pas leurs voler leurs révolution.