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☀️ a écrit:
Salut
Le cliché du "comment s'est passée ta journée ? ☺️" Qu'on a tous vu dans les films, franchement je pense qu'on devrait l'appliquer
Perso mes parents ne m'ont JAMAIS demandé comment s'était passée ma journée .. lol
Je pense que c'est difficile de créer une relation de confiance et de proximité telle que l'enfant confie tout ce qu'il a sur le cœur à ses parents, et en même temps une relation d'autorité.
Enfin je dis ça mais je n'ai pas d'enfant.
Je parle avec mon "expérience".
Parfois on ne peut pas dire ce qu'on vit parce qu'on a honte, on sait que les parents vont nous engueuler ou alors nous dire de se défendre ou je sais pas quoi.
C'est pas si simple dans la tête d'un enfant.
Et quand y'a des frères et sœurs, tu veux pas passer pour le "plouc" alors tu dis rien.
Enfin bon
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☀️ a écrit:
Salut
Le cliché du "comment s'est passée ta journée ? ☺️" Qu'on a tous vu dans les films, franchement je pense qu'on devrait l'appliquer
Perso mes parents ne m'ont JAMAIS demandé comment s'était passée ma journée .. lol
Je pense que c'est difficile de créer une relation de confiance et de proximité telle que l'enfant confie tout ce qu'il a sur le cœur à ses parents, et en même temps une relation d'autorité.
Enfin je dis ça mais je n'ai pas d'enfant.
Je parle avec mon "expérience".
Parfois on ne peut pas dire ce qu'on vit parce qu'on a honte, on sait que les parents vont nous engueuler ou alors nous dire de se défendre ou je sais pas quoi.
C'est pas si simple dans la tête d'un enfant.
Et quand y'a des frères et sœurs, tu veux pas passer pour le "plouc" alors tu dis rien.
Enfin bon
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Lunedorée a écrit:
Il n'y a pas de fossé entre l'écoute et l'autorité du parent. Il ne devrait pas y en avoir, ce sont deux notions différentes et l'une n'empiète pas sur l'autre.
Les deux ne sont pas en contradiction au contraire.
Quand elle est nécessaire l'autorité passe d'autant mieux auprès de l'enfant qu'il se sait en confiance avec ses parents, qui sont là pour l'écouter et le comprendre, l'épauler quand le besoin se fait sentir.
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~Aqsa~ a écrit:
bonjour lunedorée ; c'est bizarre on en parlait il y a quelques jours avec mon enfant qui a vécu la même chose à l'âge de 11 ans ; par contre je n'ai jamais minimisé sa souffrance ; je ne suis pas maman parfaite mais Allah sait j'ai fait de mon mieux pour l'écouter et on a essayé de trouver une solution ensemble ; ce n'était pas facile ; mais ensemble nous avons réussi à passer cette période difficile ; il ne faut pas les laisser seul et être à leur écoute quelque soit leur âge ; si on minimise les soucis soit disant petits pour nous il nous cacheront leur grandes souffrances (si ils subissent un attouchement par exemple) que Dieu préserve nos enfants de tout mal ; amine
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Kar-an-bar a écrit:
Ma mère nous demandait juste ce qu'on avait mangé à la cantine
Moi je demande tous les jours, on essaie de trouver des solutions ensemble pour régler au mieux les conflits le lendemain.
Ayant subit des violences au collège pour moi c'est très important de pouvoir les aider à prendre confiance en eux et apprendre à gérer les conflits.
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☀️ a écrit:
Ah ouais j'avais zappé la cantine mdrrrr
C'est vrai c'est vrai moi même ça je crois pas qu'elle demandait. Elle savait qu'on mangeait bien.
Après je leur en veux pas. La mentalité qunils ont, pour eux toutes ces histoires de souffrance dans l'enfance et tout c'est des tmeniks de gwer
Genre mon grand frère avait fait je sais plus quelle connerie, il devait aller voir un psy, mon père a dit c'est quoi ces foutaises encore ??
Là j'ai compris que je devrais me démerder tte seule.
C'est bien comment tu fais. Et tes enfants se confient aussi bien à toi qu'à leur père ?
Tu ne perds pas en autorité
Enfin je sais pas
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Kar-an-bar a écrit:
Ils ont plus de facilité à se confier à moi.
Si c'est pas grave je les conseille directement.
Si c'est plus grave on en parle tous ensemble, mais je les préviens avant pour pas qu'ils se sentent trahis.
Il faut vraiment créer une relation de confiance pour qu'ils sachent que je ne m'énervais pas, que je leur dirais si c'est eux qui ont tort et que je n'irais jamais faire de scandale à la sortie de l'école.
Je fais ce qu'on n'a pas fait pour moi, la seule solution que j'avais trouvé à l'époque c'était d'arrêter de travailler pour redoubler. Ce n'est pas une solution, ils n'ont jamais été punis pour ce qu'ils m'ont fait.
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☀️ a écrit:
Ah oui c'était à ce point là.. ?
Bah j'en suis pas fière mais à cause de moi (en grande partie) une fille a changè de collège. Une sorte de "harcèlement"
Voilà voilà c'était mon petit moment confession
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Kar-an-bar a écrit:
Ma mère nous demandait juste ce qu'on avait mangé à la cantine
Moi je demande tous les jours, on essaie de trouver des solutions ensemble pour régler au mieux les conflits le lendemain.
Ayant subit des violences au collège pour moi c'est très important de pouvoir les aider à prendre confiance en eux et apprendre à gérer les conflits.
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Kar-an-bar a écrit:
C'est bien que tu t'en sois rendu compte, je me dis que peut-être qu'ils regrettent maintenant qu'ils sont adultes
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Sabrina_marooc a écrit:
Salam du coup comment leur apprendre à gérer les conflits ?
Je t’avoue que j’ai vu souvent de parents s’entre battre au motif que leurs enfants étaient en dispute. Ou alors j’ai vu des parents embrouillaient violemment les enfants s’en prenant aux siens.
Mais je trouve effectivement c’est une richesse d’apprendre à gérer les conflits car cela peut vraiment bouffer toute une vie, une incapacité à y faire face. Mais comment s’y prendre ?
Certaines personnes deviennent totalement asociale à cause des conflits qu’elles n’ont pas su gérer par le passé justement.
Mais est ce que cela ne dépend pas grandement de la personne que tu as en face ?
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Pensée sauvage a écrit:
Je pense qu'il peut être bien d'encourager l'enfant à avoir des amis, d'être intégré dans un groupe, ou au moins d'avoir une fratrie soudée prête à s'imposer à l'extérieur, et de savoir qu'il trouvera du soutien dans sa famille.
Ma grande, elle a un groupe d'amies, dont une amie proche, elles se soutiennent entre elles, ça leur donne du courage pour s'imposer face aux personnes malveillantes, et dédramatiser entre elles.
Elle sait aussi que je peux etre un soutien et un conseil, elle me raconte tout.
Ma seconde, elle est du genre à recarder fermement, et se bagareur si nécessaire, et à etre tres détachée du regard des autres. Elle sais que si besoin elle peut faire appel à sa soeur, et me parler aussi, mais elle gère déjà mieux les conflits que moi.
Mon troisième, il est assez sensible et susceptible, mais jusqu'à maintenant il n'a eu que des petites chamailleries, il est encore écolier.
Je remarque quand même qu'au collège, les adultes ne gèrent pas bien les conflits entre jeunes, car chacun à sa version, ou ils n'ont pas conscience de la gravité de la situation pour les jeunes.
Ma fille aînée a été accusée à tort de harcèlement, elle connaissait à peine la fille concernée, elle n'a pas eu d'attitude malveillante envers elle (et ce n'est vraiment pas son genre), elle n'a vraiment pas compris, c'est remonté jusqu'à la CPE qui a cru l'autre fille.
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Sabrina_marooc a écrit:
Ta seconde acquiert dès maintenant les mécanismes de défense de ce monde de brut c’est très bien !
Oui malheureusement le système éducatif est très souvent mal fait, j’espère que tu as pu démontrer à cette CPE que ta fille n’était pas coupable de ce dont elle était accusée