A PROPOS D'ELFATH BENNOURI Elk Fath Bennouri a suffisammentr défrayé la chronique depuis sa création en 1956 sous le nom de NASR Sidi Bennour. tout en gardant son amour propre celui d'un club qui n'aime perdre et qui lutte de toutes ses forces pour une telle issue?. Le clkub a engrangé des progrés techniques depuis son accession en 1993 en division "A" sous la présidence de Haj Sliman Benmiloud. Revenant un peu sur les problèmes des dirigeants: il y a plusiurs catégories de dirigeants: Il y a ceux qui viennent à un club, car ancien joueur, il désire conserver le contact avec le sport favori en passant de l'autre côté de la barrière. Il y a ceux qui viennent dan un club avec un esprit calculateur. Ils ne veulent voir que les aévantages et ignorent carrément les inconvénients. Les fonctions de président ouvre généralement toutes les portes. Celles des membres peremettent de multiples avantages. Avec de tels dirigeants, le club ne peut enregistrer que les succés épisodiques. Il y a des digeants du dimanche. En effet ces messieurs ne connaissent le club que lors de la journée dominicale. tirés à quatre épingles, ils viennent au stade pour imposer alors que durant toute la smaine ils n'ont assisté ni aux entrainements ni aux réunions. Il y a également des dirigeants qui sont simples parachutés et se retrouvent à un poste pour lequel ils n'ont aucune aptitude. Il y a enfin ceux qui viennnt au football car ils espèrent assouvrir leur passion de la balle ronde. C'est généralement cette catégorie qui est la pluis laborieuse et grâce à laquelle lezs cclubs s'épanouisent Actuellement ses digeants sont des anciens joueurs comme Znaiber Khamis (El Baz) avec à leur t^te le président Houari qui est un homme d'action, aussi affable que les autres dirigeants Doukkalis; toutes ces qualités ajoutées à sa haute coimpétence en manière de droit font d lui un homme de la situation. A vous Akhi Doukkali 2010
AKHI MALEK, le président Aziz Amal Sidi Bennour a égorgé un mouton au terrain municipal pour porter bonheur à son équipe. Acette occasiuon une grande réception a été offerte au siège Diafa Badr en l'honneur des membres et joueurs du club Ama. Amal Sidi Bennour a fait match nul contre l'étoile de le jeunesse de Casablanca El Fath a perdu le match de la première journée à Azilal par 3 à 1 en faveur d'Azilal
Bonjour, je souhaiterai remercier les personnes qui avaient présenté des condoléances pour le décés de mon père EL KAHOUI Ismail, allah yrahmou...merci à vous Belcadi pour les brillants articles sur mon père et pour toutes les précieuses informations que vous avez sur lui. Merci à toutes les autres personnes...
Je reprends contact avec les bennouris, j'ai déja partcipé à ce forum de discussion y a quelques années..
Je souhaiterai reprendre contact avec un ami du lycée, Lachgar Jamal, je sais qu'il connait ce site. S'il lit ce message, j'aimerai qu'il m'écrive à l'adresse mail suivante : [email protected].
J'encourage les personnes comme BE, BELCADI, qui font beaucoup pour ce site, merci
Don de Rotary Club d’El Jadida à l'Académie Doukkala Abda Un autocar pour combattre la déperdition scolaire
Le Rotary Club d’El Jadida sous la présidence de M. Abdeljabbar Bouhlal qui multiplie les actions de bienfaisance. La dernière était en faveur de la déperdition scolaire, un des principaux chevaux de bataille de l’Académie régionale Doukkala Abda dans son plan d’urgence. Le Rotary club d’El Jadida vient de faire don d’un autocar et d’une quantité de livres, une initiative inscrit dans le cadre d’un partenariat gagnant et porteur entériné entre les deux parties. Cet autocar sera dédié par l’académie au transport scolaire rural, pour faire partie de toute une batterie de mesures entreprises, pour combattre le phénomène de l’abandon scolaire dans la région. Une sympathique réception a été organisée au siège de l’AREF pour la remise du don, en présence du directeur M. Mohamed Mâzouz, du délégué provincial, M.Bendaoud Merzaki, du secrétaire général M. Mustapha Ahdab, du président du Rotary Club d’El Jadida, M. Abdeljabbar Bouhlal et plusieurs autres personnalités et invités de marque. L’occasion idoine où les deux parties ont eu à débattre des énormes perspectives de coopération qui existent pour renforcer ce partenariat. Cette action fait suite à plusieurs autres bonnes actions à mettre à l’actif du Rotary Club d’El Jadida en faveur du secteur de l’enseignement, mais aussi d’autres secteurs sociaux sensibles dans la province et plus particulièrement la santé. Le Rotary avait fait don d’une cinquantaine de chaises roulantes aux handicapés de la Région, d’un appareil de radio pulmonaire à l’hôpital El Ayachi pour tuberculeux, d’une centaine de couvertures. Des dons alimentaires, distribution de cartables en début d’année scolaire ou encore des assistances médicales. Le Club avait aussi, grâce au dynamisme de ses précédents présidents, contribué à la création des deux nouvelles classes pour les enfants sourds muets, à l'école primaire«Al-Moukawama», et distribué une centaine de lunettes de correction au profit d'élèves issus de familles démunies.
salut les doukkalis bonne année les amis les 2 années hijrya et miladiya. ça fait vraiment rire ce que je vient de lire au journal assabah al amal veut marquer avec DBIHA.... du jamais vue et jamais entendu. safi mab9aw rkabi c le debut du championat et les matches mazal masakhnouch ach had lkalakh daba kadak lhawli debhouh fe tirane . idan lemen mehsoub wach pour les jnoune du fath ou chayatine du amal . wa sirou dirou 39al a doukala khelitou lbachar chad fina had sbah ila bghat lkoura rakoum tmarkiwha men 9ahwat da3li. wa sirou ba3dou 3la riyada ya rba3a dyal chlahbiya.. dfentou lallakoum el fath oudaba bditou fi tkhalwide. allah yen3al li mayehchem
Mais depuis quelques années, les cadrans de ces horloges, et même celle plus récente de l'hôtel de ville, ne daignent plus bouger étant donné que ces magnifiques machines du temps ont été abandonnées à leur propre sort. Ces horloges, valant leur pesant d'or, sont délaissées avec une indifférence qui révèle le degré de respect accordé à la notion du temps et du souci de l'entretien qui préoccupe les responsables de la ville. Pourtant, elles ne demandent qu'une banale intervention pour recommencer à respirer au grand bonheur de tous. N'y ont-elles pas droit ?
Nous n'oublierons jamais ce touriste d'outre-mer qui s'est fait un grand plaisir de filmer l'horloge de la municipalité tout en lançant à sa compagne d'un ton ironique : «C'est le fameux temps marocain ! En plus, ceci prouve que les élus ne respectent guère les habitants de la ville puisqu'ils ne soucient guère de la notion du temps». Que répondre face à une telle allégation ? Rien, car au fond de moi-même, cette manie de qualifier nos rendez-vous de «rendez-vous marocains » existe dans nos mœurs et coutumes à cause, justement, de l'irrespect dû à ce facteur-clé et vital. Pire encore, chez nous, la perte de temps est constatée partout même au sein des administrations publiques et semi-publiques.
Allez voir du côté de notre (respectable) municipalité ; les interminables palabres animées par nos élus, leurs dissensions et leurs chamailles pour des futilités sous prétexte qu'ils n'approuvent pas la mauvaise gestion de la municipalité. Mais en réalité, chacun y trouve son compte et pendant ce temps gaspillé, c'est toute la ville qui en pâtit. Alors, le temps n'est-il en or que pour l'intérêt personnel ? Ces derniers jours, nos «vaillants» conseillers sont presque sur le ring pour exhiber leurs muscles les uns contre les autres tandis que l'achèvement des travaux de plusieurs chantiers s'éternise et que les délais s'étirent à faire mourir de rage ou de pollution ; comme c'est le cas du fameux centre commercial d'El Kalaâ, devenu un véritable marécage et attendant certainement « le maçon de Godot » pour son parachèvement. Il en est de même pour la réhabilitation de la cité portugaise, le marché Bir Brahim, le complexe culturel et l'abattoir. Ainsi, les élus continueront-ils à répéter la fameuse réplique : «On va faire », mais en réalité, on ne verra la réalisation de ces chantiers que d'ici au moins un siècle.
L'autre paire de manches, on la constate lors des files interminables que forment les citoyens devant les services de la trésorerie générale, des banques, des dispensaires, des services de distribution d'eau et d'électricité et des agences de IAM.
Enfin, partout. Et lorsqu'un citoyen ose placer une remarque, c'est un « ceux qui se sont pressés, sont déjà morts» qu'il reçoit comme réplique d'un ton ironique. Pis encore, le centre hospitalier provincial, construit en 1917, est dans la déchéance totale. Et même s'il a atteint un seuil alarmant et effrayant, le malade ou le blessé doit attendre dans l'agonie qu'on veuille le consulter, surtout aux urgences. Cela au cas où il réussit à entrer sinon il rendra son âme à Dieu petit à petit devant la porte de l'hôpital, dans l'indifférence totale des hommes et des femmes de la santé publique, comme ce qui est arrivé dernièrement pour un pauvre regretté.
D'où vient donc le mal ? C'est simple, on laisse le temps au temps pour faire oublier toutes les bévues et gaffes.
On préfère se vautrer dans une oisiveté bizarroïde pour faire régner le spectre de l'oubli afin de s'emplir goulûment les poches au frais du pauvre citoyen. En somme, la nouvelle vision de notre Auguste Souverain obligera incessamment ces malintentionnés à accorder toute l'importance nécessaire au temps.
Ils sauront très vite que le nouveau Maroc n'est fier que de ceux qui respectent la notion du temps car demain le temps sera le maître de celui qui n'en aura pas. En attendant, espérons que les charmantes horloges d'El Jadida reprennent leurs activités ardemment souhaitées Abdelkader BELCADI
DOUKKALA PROMOTION DE LA P M E / P M I EN MILIEU RURAL
Abdelkader BELCADI
L’activité de l a province est essentiellement agricole (céréale, betterave sucre, vigne, maraîchage) ce qui lui offre de grandes possibilités de transformation de produits agricoles, les activités de la pêche restent cependant peu développées. La province bénéficie d’un réseau routier et ferroviaire lui, permettant d’avoir des relations aisées tant avec son arrière pays qu’avec le reste du Maroc. Sa proximité de Casablanca constitue un atout important quant à l’accessibilité au marché national. L’encadrement financier y est assez important et consiste en une représentation de la banque du Maroc et une vingtaine d’agences bancaires en plus d’une douzaine agences de crédit agricole du Maroc. Contribution : sur le plan d’industrie, la province dispose d’unités industrielles importantes aussi dans le secteur du textile, des produits pharmaceutiques et surtout de traitement des phosphates contribuant ainsi la valorisation des ressources nationales. Ce tissu industriel est actuellement composé de 63 établissements. Ces unités ont réalisé en 1990 une production de 5735 millions de dhs, des exportations de 3990 millions de dhs et ont dégagé une valeur ajoutée de 870 millions de dhs. Elles ont employés 7077 personnes. En 1991, le nombre de dossiers d’investissement ayant le visa de conformité ont été de 22 pour un investissement total de 26 millions de dhs, ils permettront la création de 574 emplois nouveaux. La province dispose en outre d’une zone industrielle de 117 ha où déjà plusieurs unités sont en fonctionnement. De même qu’il été décidé l’aménagement d’une zone industrielle portuaire à Jorf Lasfar sur une superficie de 150 ha. Par ailleurs, un des plus important port en eau potable du Royaume a été réalisé dan cette province à coté d’un complexe chimique pour le traitement des produits phosphatiers dont la capacité de production est de 1.320.000 tonnes/ an d’engrais soit 5O% de la capacité de production nationale. Les potentialités agricoles de la province, sa situation géographique, l’importance de ses infrastructures, les mesures incitatives octroyées par le code des investisseurs industriels à la zone IV dont elle fait partie et la présence d’un potentiel humain laborieux et perfectible font que la province d’El Jadida constitue un important pole de développement économique. Toutefois l’absence d’actions concrètes dans son arrière pays en matière de promotion de développement des activités économiques pourraient être l’origine d’un exode rural massif d’une population en quête d’emploi dans un proche avenir. Attention particulière : Dans ce sens, une attention particulière doit être accordée aux centres et communes de la province tels que Sidi Bennour, Azemmour, Bir Jdid et Zémamra pour d’eux des villes tampons entre El Jadida et sa région en y créant des infrastructures de bases et socio-culturelles nécessaires. S’il est certain que de réelles perspectives existent au niveau de ces régions pour la création de petites et moyennes entreprises et le perfectionnement de micro-activités. Il n’en demeure pas moins que le manque d’information et l’encadrement personnalisé,empêche des investisseurs potentiels de la région de prendre l’initiative et faire preuve d’esprit d’entreprendre. Dans ce cadre, une structure d’assistance et de conseil créée au niveau de l’une de ces localités, permettra de lever ces contraintes en
EL JADIDA : Association des Doukkala Un programme trop chargé Abdelkader BELCADI
L’Association des Doukkala a vu le jour il y a quinze ans mais elle est devenue opérationnelle, plusieurs années après, la mise en place des structures de base constitue une étape prioritaire et un passage obligé. M.Abdelkrim BENCHERKI, président de l’Association des Doukkala a tenu à indiquer que l’établissement de projet à court ou moyen terme tenu par des commissions s’imposait pour répondre aux besoins sans cesse croissant des Doukkalis se trouvant dans une situation sociale difficile. Pour que les objectifs qu’elle s’est fixée dans ses statuts soient atteints à savoir : Relation avec l’INDH, technologie de l’information, santé et éducation sanitaire, éducation et formation, culture, communication et développement institutionnelle, sport, événement et animation. L’Association des Doukkala a conclu des accords de partenariat et de coopération avec plusieurs départements ministériels, collectivités locales, chambre d’artisanat, sociétés privées et organisations non gouvernementale qui ont les mêmes préoccupations (Alphabétisation et éducation sanitaire pour 2500 adultes répartis sur 13 communes. Scolarisation de 500 enfants essentiellement du milieu rural sur une durée de 3ans. Etude sur le transport scolaire. Formation des associations et coopératives en matière de gestion de projets. Organiser et promouvoir l’art de la jellaba saîssia, appui aux potiers de Douar lahchalfa. Opération quartier modèle. Semaine de l’environnement. Constitution médicale et suivie pour les 23 douars de la commune. Valorisation de la formation avec diplôme donnant accès à l’emploi. Rénovation et mise à niveau et à jour de l’outil informatique. Augmenter la fréquentation de l’Association. Diffuser les activités et les prestations offertes par l’association). A l’instar des années précédentes et comme il est de coutume, chaque mois de Ramadan, l’Association des Doukkala s’est animée de la ferme volonté de réconforter et de soutenir les catégories sociales indigentes démunies et vulnérables. Le Ramadan précédent, elle a redoublé d’efforts pour augmenter le volume de son aide, élargir son rayon d’action et rénover ses « circuits de distribution » en l’occurrence les responsables des quartiers ou chargés de remettre les dons aux familles bénéficiaires. Plus de 2000 familles nécessiteuses ont touchées, ainsi qu’environ 1500 pensionnaires des diverses maisons d’accueil et d’hébergement des jeunes élèves de Diour Talib et Taliba. A cela il faut ajouter l’aide isolée, individuelle, accordée à des centaines de demandeurs qui se présentent personnellement. A doses différentes et bien étudiées pour assurer un approvisionnement susceptible de couvrir les besoins du mois Sacré, tous les bénéficiaires ont reçu thé, sucre, café, farine, huile lentille, pois chiche vermicelle, carré de bouillon, lait concentré de tomate... Dans tout cela, l’Association des Doukkala s’est imposée la discrétion et le respect des sensibilités comme gage, pour sauvegarder la dignité des bénéficiaires. Elle a aussi veillé à ce que cette action soit d’envergure et apporte la joie aux cœurs des Doukkalis dans tous les recoins de la province. Des volontaires de trous azimuts ont offert gracieusement leurs services et accepté d’assumer la responsabilité de la distribution des colis. Ainsi et où qu’elles soient à El Jadida, Azemmour, Bir Jdid, Sidi Bennour, Zémamra, Ouled Frej, les familles modestes et les vieillards reçoivent chez eux sans se déranger, les dons attendus avec, on l’imagine, impatience. L’Association des Doukkala a contribué également des autres projets et réalisation à savoir : Cours de langues : Anglais, Allemand, Français, Espagnol (120 bénéficiaires), cours d’informatique (120), cours de peinture (20 bénéficiaires), cours de calligraphie (nouveauté 2007), cours de musique (projet d’école de musique à l’étude), projet de formation de guides touristiques qualifiés, dons de diverses natures(fauteuils roulants, lits médicaux, béquilles, couvertures, lits, matelas,draps,matériel médical, vêtements et enfin le soutien à des manifestations scientifiques et culturelles. Abdelkader BELCADI
wa si lgardien dyal lhand bwajhek s'hih dayer hadik la foto men al massae sirou 3ande chi chewafa tchouf likoum ach men martaba ghadi tsaliw al botola ou ch'hal dyal lgolaverage ghadine dirou koun tehchem ou ba3ed 3la riyada wenta ghire hachi hors jeu.sir ila 3andek chi chghoul ou diha fracek. el oubbaha lkhawya mab9atch kheddama lik .
Bonsoir les doukkali(e)s Quand j'étais éléve interne au lycée mixte Sidi Bennour, j'ai considéré cette ville comme un exil.J'ai eu le sentiment d'un garçon qu'on a volé son bonheur, et j'ai cherché à tout prix la fuite.J'ai réussi à continuer mes études lycéennes au lycée ibn Khaldoun à El Jadida et j'ai trouvé que j'avais tort. A Sidi Bennour j'ai acquis de véritables amis. A Mazagan j'ai gaspillé mon temps. Des jdidis sont sectaires et n'aiment pas les gens venus d'ailleurs. Il m'est arrivé d'entendre des membres de la familles Bencherki, Lamssefer,Iraqi ou Kadiri se réclament étre fassis et expriment leurs fiéreté de ne pas étre doukkalis(Médite bien ça si Belcadi).L'association Doukkala n'a jamais été représentative(Quel sont les membres de son bureau qui sont de Sidi Bennour, Oualidia, Zermamera ou Gharbia par exemple? Personne).C'est une association des fassis d'El Jadida tout simplement.Ella organisé un hommage à Abdenbi Jirari(Pour quel rasion rendre un hommage à ce r'bati qui n'aime pas les doukkalis?) et a refusé de rendre hommage au Cheikh Islam Couaib Doukkali par exemple.Méfiez vous si Belcadi, prenez garde des j'didis cher ami.
Suite a l’intervention de monsieur le président si Mohamed bel farji Je vous signal que votre lettre sa nous fait ni chaud ni froid puisque que tout le monde ici a sidi bannour savent bien que vous êtes seulement UN PION ou Niveau de LASBR (association de sidi bannour Est ces l’équipe de ALI BABA qui vous dicte ce que tu dois faire est c’est bien dommage pour nous a sidi b Monsieur le président rester propre comme vous étiez depuis toujours ces gens la Ce n’est pas ton genre (il profite sur votre personnalité) La meilleur chose que tu peu faire de bien a oualed sb c’est de démissionné ……..moi je dis ce que je pense et je demande Aux HYPOCRITES DE SABSTENIR ...........EST CE QUE YA DE MAL A DEMANDER LA TRANSPARENCE
je ss d'accord avc si dokk2010, à cdtion que n ns syons ps sectaires envers l'enssemble des fassis, mm parmi les doukk il y a des kouadas ss dire des gd opprtstes, à m avis l'erreur sratégique, a été commise par le colonialiste losqu'il a crée la ville d'El Jadida ou pltot son port en attendant celui de Casa, et en mm tps profiter de ses plges "Dauvlle appelé par le maréchal Lyauti". profitant de la conjcture, certaines familles fassi de Zettat, et d'autres interprètes algériens du colonialiste venus de partout, restés les mêmes après l'Istklal, pour perpétuer leurs prévilèges ils ont instauré une province à El Jadida ss tenir cpte de la réalité de la région, comme exple : Nestlé, moulins, etc...
revenons à ntre ass. j'ai appris ce jour que le bureau a convoqué ts ses membres pour préparer l'assbl.ord. afin de dicuter sur la date et le lieu, ainsi que sur le progrmme et les autres prépartfs que...
Je voudrais souhaiter bonne année Héjir à tout le monde...
Je souhaiterai qu'on parle de ce qui ce passe en palestine, je suis malheureuse par la tuerie qui se passe là bas...le nombre d'innocents...C'est dire que ces innocents vont démarrer l'année avec "le crime et la mort", que pouvons nous dire??? que pouvons nous faire???? ....
Bonsoir les doukkali(e)s:Bonne année à vous tous, meilleurs voeux et meilleurs souhaits.
Bonsoir si mehdi324 Bonne Année.
Je ne suis pas du tout sectaire.J'ai déjà écrit sur ce forum que j'admet mon identité ethno-régionale dans la reconnaissance de l'universel. Mais Allah yarham Lyautey qui a fait de Mazagan(El Jadida) une rose de l'Atlantique marocain. Qu'ont fait les ministres marocains tel Oufkir, Haddou Chiguer, Driss Basri, Midaoui, Himma, Chakib Benmoussa, les gouverneurs de la province d'El Jadida tel Salah Mzili,Ouzzani, Farid Ouarrak ou Ahmed Arafa? Il ont ruiné Mazagan qui est devnue une cemitière mouvante.Voilà la réalité.Face aux personnes citées et quelques notables de Mazagan, je réhabilite entiérment le protectorat, voire le colonialisme cher ami.Et par conséquent Lyautey est un grand monsieur.Il a oeuvré pour le Maroc autant que la France.C'est ça la réalité, il faut la reconnaitre.Je dois rien aux personne citées , mais je dois beaucoup à Lyautey, et je reconnais ça avec la plus grande sportivité.Quand je traverse Mazagan je pleure au fond de moi mème.Doukkala doit beacoup sa bonne réputation aux européens, mais elle a une mauvaise réputation chez les marocains pour des raisons ethniques cher ami.Il y a des j'didis qui veulent exploiter le nom des doukkala pour des fins famililes ou personnelles, et l'association des Doukkala sensé d'étre une association régionale, n'est représentative que des familles fassis de Mazagan.C'est ça la réalité cher ami.
A l'occasion de la nouvelle année 2009, je vous exprime mes meilleurs voeux et souhaits, vous espèrant une année pleine de réalisation , bonheur et prospérité.
Cher Doukkali, A propos de l'assocciation du grand Doukkala, En tant que journaliste, je ne fais que mon devoir, j'ai réalisé cet article lors d'une conférence de presse organisée au siège du complèxe culturel d'El Jadida par l'association du grand Doukkala, présidée par M. Abdelkrim Bencherki qui était entouré de ses proches collaborateurs notamment du Feu Fayçal Kadiri, ex président du conseil municipal et ancien parlementaire, Mohammed Fathi, secrétaire général de l'association du grand Doukkala, et Driss Chakiri, membre de la dite association. Pour vous précisez bien L'association du Grand Doukkala est représentée suivant la reglementation en vigueur à travers les cercles de la province " Sidi Bennour représenté par Hj Slimane, Benmloud, Zémama par Mohamed Chakri, Azemmour par Melle Najia et enfin, Bir Jdid par Dr. Mohammed Ben Brahim A vous Doukkali Salut
Voici le contenu d'un mail que j'ai réçu. Proposition adressée à l'ASBR:
-----Message d'origine----- De : Daniel T.] Envoyé : lundi 22 décembre 2008 22:53 À : malek
Objet : Enseignement, bénévolat
Madame, Monsieur,
j'ai planifié de venir passer trois mois au Maroc à partir du 1er mars.
De nationalité française, agé de 38 ans, ex danseur et titulaire d'une License d'Histoire de l'art et d'Archéologie, je travaille actuellement pour l'armée européenne à Strasbourg.
Mon emploi me permet de dégager de longues périodes d'inactivité que je souhaite combler en me rendant utile. Je possède une expérience de soutien scolaire pour les niveaux de classe de collège dans toutes les matières et je serais ravi de pouvoir mettre à votre disposition mes connaissances si vous en avez besoin. Je n'attends pas de rémunération et c'est bien en tant que bénévole que je souhaite vous rejoindre. j'apprécierais néanmoins votre aide pour ma recherche de logement sur place.
Dans l'attente de vous lire, recevez Madame, l'assurance me des sincères salutations.
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