L'ancien général canadien Roméo Dallaire, célèbre pour avoir commandé la mission de maintien de la paix des Nations unies au Rwanda en 1994, a répondu sans équivoque à une question posée par Yves Engler. Interrogé sur la situation à Gaza, Dallaire a affirmé qu'il s'agit bien d'un génocide. Ce témoignage est d'une importance capitale, car Dallaire est reconnu mondialement pour son rôle dans la dénonciation de l'inaction internationale face au génocide rwandais, qui a coûté la vie à plus de 800 000 personnes.
Une voix crédible qui connaît le poids du mot "génocide"
Dallaire n'est pas un simple observateur : il a été un témoin direct des atrocités au Rwanda, luttant désespérément pour sauver des vies malgré l'abandon de la communauté internationale. Son expertise et son expérience lui donnent une autorité unique pour reconnaître les signes d'un génocide : extermination systématique, destruction intentionnelle d'un peuple, et violations massives des droits humains. Sa déclaration sur Gaza confère une légitimité supplémentaire aux accusations portées contre Israël, au-delà des débats politiques.
L'étau se resserre
De plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer la réalité des crimes commis à Gaza. Des historiens, des experts en droit international, et désormais une figure comme Roméo Dallaire parlent ouvertement de génocide. Israël, autrefois intouchable sur la scène internationale, voit son image s’effriter à mesure que les faits s'accumulent. Le monde commence à ouvrir les yeux, et le temps de l'impunité semble toucher à sa fin.
L'histoire retiendra
Israël, les regards se tournent vers vous. Lorsque des figures comme Roméo Dallaire appellent les choses par leur nom, il devient difficile de nier l'évidence. L'étau se resserre. La justice n’oublie jamais.
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