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Quand le sevrage tabagique mal suivi tue.
C
19 décembre 2019 13:19
Salam aleikoum

Lorsqu'il s'agit de votre santé, il ne faut pas prendre comme vérité absolue les informations de la voisine, doctissimo, ou de BogossMaghrebin73 sur Yabi. Dirigez-vous vers un professionnel de la santé, soyez clairs, exposez tout votre historique et là on essayera de trouver une solution.
Parfois nous croyons bien faire (ben oui qui pense que conseiller à qq1 d'arrêter de fumer est une mauvaise chose?). Mais rien ne doit se faire sans réfléchir et tout analyser au préalable surtout lorsqu'on a une santé fragile, qu'on est un nourrisson ou une personne âgée.

Bon, je serai contente s'il y'a au moins une personne qui lit mon post, mais c'est vrai que c'est long. Oups





Cas clinique



Une patiente de 76 ans est admise à l’hôpital pour altération de l’état général avec vertiges. Ses antécédents médicaux sont une fibrillation auriculaire traitée par Lanoxin° et une BPCO traitée par Sérétide° 25/250mg 2x/j et Xanthium° (théophylline) 200mg 2x/j. A l’admission, elle est tachycarde et présente un rythme cardiaque irrégulier. On décide de la placer sous antibiotique pour suspicion d’infection urinaire sur base de l’analyse urinaire.

Malheureusement 2 jours plus tard, la patiente présente des crises épileptiques tonico-cloniques nécessitant l’administration de Temesta° en IV. Vu l’absence de fièvre, de CRP et de lésions cérébrales aigües démontrées au scanner, un dosage plasmatique de la théophylline est réalisé et montre un surdosage à 41,6mcg/ml (NR 10-19,9mcg/ml).

La théophylline est directement suspendue. Le syndrome neurologique se résoudra rapidement les jours suivirent (absence d’épilepsie et de confusion). Malheureusement, la patiente décédera d’une septicémie en cours d’hospitalisation.

? Pourquoi la patiente s’est-elle intoxiquée à la théophylline ?

Les 2 semaines précédant son hospitalisation, la patiente avait décidé d’arrêter de fumer. Elle fumait plus de 3 paquets de cigarettes par jour. Les hydrocarbures contenus dans la cigarette sont de puissants inducteurs de cytochrome P450 1A2 qui métabolisent certains médicaments dont la théophylline qui est à marge thérapeutique étroite (une faible variation des concentrations plasmatiques suffit à intoxiquer le patient).

? Les fumeurs (20-40 cigarettes/jour) métabolisent donc beaucoup plus rapidement la théophylline que les non-fumeurs et nécessitent donc des doses plus élevées pour être efficace.

⚠️Lors d’un sevrage tabagique, on veillera donc à réduire préventivement les doses de théophylline (-30%) après une semaine. On avertira également le patient des signes d’intoxication précoce de la théophylline (nausées, vomissements, diarrhées, palpitations…) et on lui conseillera de consulter son médecin pour suivre de près sa théophyllinémie (par prise de sang une semaine après la modification de dosage). L’épilepsie est l’effet indésirable typique d’une intoxication grave à la théophylline.

⚠️ En cas de délivrance de produits pour le sevrage tabagique (gums à mâcher, sprays, patchs), on consultera l’historique médicamenteux du patient et on vérifiera l’absence de médicaments normalement métabolisés par le CYP1A2 qui risquerait d’intoxiquer le patient lors du sevrage. Ils sont peu nombreux, mais à retenir :

- Théophylline, Xanthium° (risque d’épilepsie)
- Clozapine, Leponex° (risque d’épilepsie)
- Olanzapine, Zyprexa° (risque de sédation, hypotension et vertige)
- Erlotinib, Tarceva° (les patients doivent arrêter de fumer avant de commencer le traitement. Les bénéfices cliniques de cet anticancéreux sont diminués chez les fumeurs)
- Méthadone (risque d’insuffisance respiratoire et de confusion)

⚠️ On évitera d’utiliser la bupropione (Zyban°) comme médicament anti-tabac chez les patients asthmatiques/BPCO sous théophylline vu qu’il abaisse également le seuil épileptogène +++ (dose max recommandée 150mg/jour)

Pharmalearny
What are the clinically significant drug interactions with cigarette smoking ? NHS, Medicines Q&As
Theophylline Toxicity - A forgotten Entity, N Altaie, S Malik and S Robertson, BJMP 2011;4(1):a404



Modifié 2 fois. Dernière modification le 19/12/19 14:19 par Cawit.
S
19 décembre 2019 13:26
C'est pas le sevrage qui l'a tué. Il y a tellement de facteur à prendre en compte dans son cas et le manque de suivit évident.

74 ans, passer de 3 paquets par jour à plus rien, avec tous les antécédents de la patiente. Il etzit claire qu'elle allait subir.

Bpco c'est une horreur pour les fumeurs.
C
19 décembre 2019 13:36
Si, c'est ce qui a déclenché tout ça.
Si elle avait été suivie, on aurait diminué sa dose de theophylline en conséquence et aurait été suivie jusqu'à atteindre la bonne dose.
Ceci n'a pas pu être fait car son sevrage s'est fait sans tenir compte de ses médicaments.
Citation
SDreams off a écrit:
C'est pas le sevrage qui l'a tué. Il y a tellement de facteur à prendre en compte dans son cas et le manque de suivit évident.

74 ans, passer de 3 paquets par jour à plus rien, avec tous les antécédents de la patiente. Il etzit claire qu'elle allait subir.

Bpco c'est une horreur pour les fumeurs.
S
19 décembre 2019 13:39
Oui, elle a pas été suivit. Mais c'est pas le sevrage le problème.

Tout sevrage doit être suivit médicalement car justement ça implique des changement chimique et physique énorme.

Mais c'est le non suivit qui l'a tuée, non le sevrage.
Citation
Cawit a écrit:
Si, c'est ce qui a déclenché tout ça.
Si elle avait été suivie, on aurait diminué sa dose de theophylline en conséquence et aurait été suivie jusqu'à atteindre la bonne dose.
Ceci n'a pas pu être fait car son sevrage s'est fait sans tenir compte de ses médicaments.
C
19 décembre 2019 13:42
Oui, ceci dit ça ne change rien au fond.

L'exemple parle du tabac et de la theophylline.

J'ai énormément vu de personnes conseillant a d'autres sur le forum d'arrêter les antidépresseurs car les antidepresseurs c est pas boooooon.

Ou conseiller des plantes, car les plantes c'est naturel et donc c'est bon.
Citation
SDreams off a écrit:
Oui, elle a pas été suivit. Mais c'est pas le sevrage le problème.

Tout sevrage doit être suivit médicalement car justement ça implique des changement chimique et physique énorme.

Mais c'est le non suivit qui l'a tuée, non le sevrage.
L
19 décembre 2019 13:45
Ne fais tu pas de même avec l'article ? ?
Citation
Cawit a écrit:
Salam aleikoum

Lorsqu'il s'agit de votre santé, il ne faut pas prendre comme vérité absolue les informations de la voisine, doctissimo, ou de BogossMaghrebin73 sur Yabi. Dirigez-vous vers un professionnel de la santé, soyez clairs, exposez tout votre historique et là on essayera de trouver une solution.
Parfois nous croyons bien faire (ben oui qui pense que conseiller à qq1 d'arrêter de fumer est une mauvaise chose?). Mais rien ne doit se faire sans réfléchir et tout analyser au préalable surtout lorsqu'on a une santé fragile, qu'on est un nourrisson ou une personne âgée.

Bon, je serai contente s'il y'a au moins une personne qui lit mon post, mais c'est vrai que c'est long. Oups





Cas clinique



Une patiente de 76 ans est admise à l’hôpital pour altération de l’état général avec vertiges. Ses antécédents médicaux sont une fibrillation auriculaire traitée par Lanoxin° et une BPCO traitée par Sérétide° 25/250mg 2x/j et Xanthium° (théophylline) 200mg 2x/j. A l’admission, elle est tachycarde et présente un rythme cardiaque irrégulier. On décide de la placer sous antibiotique pour suspicion d’infection urinaire sur base de l’analyse urinaire.

Malheureusement 2 jours plus tard, la patiente présente des crises épileptiques tonico-cloniques nécessitant l’administration de Temesta° en IV. Vu l’absence de fièvre, de CRP et de lésions cérébrales aigües démontrées au scanner, un dosage plasmatique de la théophylline est réalisé et montre un surdosage à 41,6mcg/ml (NR 10-19,9mcg/ml).

La théophylline est directement suspendue. Le syndrome neurologique se résoudra rapidement les jours suivirent (absence d’épilepsie et de confusion). Malheureusement, la patiente décédera d’une septicémie en cours d’hospitalisation.

? Pourquoi la patiente s’est-elle intoxiquée à la théophylline ?

Les 2 semaines précédant son hospitalisation, la patiente avait décidé d’arrêter de fumer. Elle fumait plus de 3 paquets de cigarettes par jour. Les hydrocarbures contenus dans la cigarette sont de puissants inducteurs de cytochrome P450 1A2 qui métabolisent certains médicaments dont la théophylline qui est à marge thérapeutique étroite (une faible variation des concentrations plasmatiques suffit à intoxiquer le patient).

? Les fumeurs (20-40 cigarettes/jour) métabolisent donc beaucoup plus rapidement la théophylline que les non-fumeurs et nécessitent donc des doses plus élevées pour être efficace.

⚠️Lors d’un sevrage tabagique, on veillera donc à réduire préventivement les doses de théophylline (-30%) après une semaine. On avertira également le patient des signes d’intoxication précoce de la théophylline (nausées, vomissements, diarrhées, palpitations…) et on lui conseillera de consulter son médecin pour suivre de près sa théophyllinémie (par prise de sang une semaine après la modification de dosage). L’épilepsie est l’effet indésirable typique d’une intoxication grave à la théophylline.

⚠️ En cas de délivrance de produits pour le sevrage tabagique (gums à mâcher, sprays, patchs), on consultera l’historique médicamenteux du patient et on vérifiera l’absence de médicaments normalement métabolisés par le CYP1A2 qui risquerait d’intoxiquer le patient lors du sevrage. Ils sont peu nombreux, mais à retenir :

- Théophylline, Xanthium° (risque d’épilepsie)
- Clozapine, Leponex° (risque d’épilepsie)
- Olanzapine, Zyprexa° (risque de sédation, hypotension et vertige)
- Erlotinib, Tarceva° (les patients doivent arrêter de fumer avant de commencer le traitement. Les bénéfices cliniques de cet anticancéreux sont diminués chez les fumeurs)
- Méthadone (risque d’insuffisance respiratoire et de confusion)

⚠️ On évitera d’utiliser la bupropione (Zyban°) comme médicament anti-tabac chez les patients asthmatiques/BPCO sous théophylline vu qu’il abaisse également le seuil épileptogène +++ (dose max recommandée 150mg/jour)

Pharmalearny
What are the clinically significant drug interactions with cigarette smoking ? NHS, Medicines Q&As
Theophylline Toxicity - A forgotten Entity, N Altaie, S Malik and S Robertson, BJMP 2011;4(1):a404
S
19 décembre 2019 13:49
Ça change bcp de chose concernant le tabac. Pq dans le cas du sevrage, on donne des produits contenant de la nicotine ? C'est parce qu'on sait à quel point la nicotine est addictive et provoque des réactions physique, biologique et chimique dans le corps.

Ça doit être suivit. Encore plus quand la personne souffre de bpco.

Pour ce qui est des médocs. On arrête pas un traitement comme ça du jour au lendemain cela se fait par palier.

Et en effet les antidépresseurs sont un poison pour les gens. Ça ne guérit rien. Ça ne fait qu'en dormir le mal être en détruisant le corps et l'esprit.

Et pour cesser cela, il faut réduire la dose petit à petit, jusqu'à ne plus en prendre. Mais à côté de cela, il faut entamer un travail sur soi pour trouver des solutions afin de fzire face à la dépression.

Donc si une personne arrête les antidépresseurs mais à côté de cela continue à subir sa vie, et bien elle ira pas mieux.


Citation
Cawit a écrit:
Oui, ceci dit ça ne change rien au fond.

L'exemple parle du tabac et de la theophylline.

J'ai énormément vu de personnes conseillant a d'autres sur le forum d'arrêter les antidépresseurs car les antidepresseurs c est pas boooooon.

Ou conseiller des plantes, car les plantes c'est naturel et donc c'est bon.
C
19 décembre 2019 13:57
Ah bon? Et comment?
Citation
LeSabreDelIslam a écrit:
Ne fais tu pas de même avec l'article ? ?
C
19 décembre 2019 14:00
Ça change bcp de chose concernant le tabac

Comme quoi?


Pour le reste tu repetes ce que j'ai dit, on doit être suivis par un professionnel de la santé.
Citation
SDreams off a écrit:
Ça change bcp de chose concernant le tabac. Pq dans le cas du sevrage, on donne des produits contenant de la nicotine ? C'est parce qu'on sait à quel point la nicotine est addictive et provoque des réactions physique, biologique et chimique dans le corps.

Ça doit être suivit. Encore plus quand la personne souffre de bpco.

Pour ce qui est des médocs. On arrête pas un traitement comme ça du jour au lendemain cela se fait par palier.

Et en effet les antidépresseurs sont un poison pour les gens. Ça ne guérit rien. Ça ne fait qu'en dormir le mal être en détruisant le corps et l'esprit.

Et pour cesser cela, il faut réduire la dose petit à petit, jusqu'à ne plus en prendre. Mais à côté de cela, il faut entamer un travail sur soi pour trouver des solutions afin de fzire face à la dépression.

Donc si une personne arrête les antidépresseurs mais à côté de cela continue à subir sa vie, et bien elle ira pas mieux.
19 décembre 2019 14:01
Parfois il y’a des cas qui nécessitent la prise d’un traitement parce que sans ils s’en sortent plus il faut arrêter de dire que tout se soigne par les plantes lorsqu’un mal être est profond il y a de réels risques pour le malade de dépression. Après je te rejoins sur le fait qu’en parallèle il faut faire un travail sur soi
Citation
SDreams off a écrit:
Ça change bcp de chose concernant le tabac. Pq dans le cas du sevrage, on donne des produits contenant de la nicotine ? C'est parce qu'on sait à quel point la nicotine est addictive et provoque des réactions physique, biologique et chimique dans le corps.

Ça doit être suivit. Encore plus quand la personne souffre de bpco.

Pour ce qui est des médocs. On arrête pas un traitement comme ça du jour au lendemain cela se fait par palier.

Et en effet les antidépresseurs sont un poison pour les gens. Ça ne guérit rien. Ça ne fait qu'en dormir le mal être en détruisant le corps et l'esprit.

Et pour cesser cela, il faut réduire la dose petit à petit, jusqu'à ne plus en prendre. Mais à côté de cela, il faut entamer un travail sur soi pour trouver des solutions afin de fzire face à la dépression.

Donc si une personne arrête les antidépresseurs mais à côté de cela continue à subir sa vie, et bien elle ira pas mieux.
S
19 décembre 2019 14:06
Je vais de nouveau me répéter tongue sticking out smiley

Quoi qu'il en soit. C'est pas le sevrage le soucis.


Citation
Cawit a écrit:
Ça change bcp de chose concernant le tabac

Comme quoi?


Pour le reste tu repetes ce que j'ai dit, on doit être suivis par un professionnel de la santé.
C
19 décembre 2019 14:09
Oui c'est le manque de suivi et c'est ce que je dénonçais dans tout le post du début à la fin.

Je ne comprends pas pourquoi tu t'es arrêté sur le titre du post SDreams. Heu
D'ailleurs dans le cas clinique on dit pas non plus que c'est le sevrage qui l'a tué.
Mais ça a bien été le point de départ.
Citation
SDreams off a écrit:
Je vais de nouveau me répéter tongue sticking out smiley

Quoi qu'il en soit. C'est pas le sevrage le soucis.
S
19 décembre 2019 14:15
J'ai tout lu t'en fais pas.

Justement le titre est trompeur. Et même si le contenu dit autrement en partie, c'est le titre qui reste en tête.
Citation
Cawit a écrit:
Oui c'est le manque de suivi et c'est ce que je dénonçais dans tout le post du début à la fin.

Je ne comprends pas pourquoi tu t'es arrêté sur le titre du post SDreams. Heu
D'ailleurs dans le cas clinique on dit pas non plus que c'est le sevrage qui l'a tué.
Mais ça a bien été le point de départ.
C
19 décembre 2019 14:20
Et même si le contenu dit autrement en partie

En partie?


J'ai ajouté "mal suivi" dans le titre. Le titre est correcte maintenant, en espérant qu'on ne s'arrêtera plus sur 3 mots mais qu'on comprendra le contenu.
Citation
SDreams off a écrit:
J'ai tout lu t'en fais pas.

Justement le titre est trompeur. Et même si le contenu dit autrement en partie, c'est le titre qui reste en tête.
S
19 décembre 2019 15:24
Non, je ne dis pas que cela se soigne par les plantes.

Mais les médocs pour la depression n'aide en rien sur le long terme.


La dépression peut se guérir et les médocs n'aident pas. Ils entretiennent l'état dépressif.
Citation
Leemns a écrit:
Parfois il y’a des cas qui nécessitent la prise d’un traitement parce que sans ils s’en sortent plus il faut arrêter de dire que tout se soigne par les plantes lorsqu’un mal être est profond il y a de réels risques pour le malade de dépression. Après je te rejoins sur le fait qu’en parallèle il faut faire un travail sur soi
C
19 décembre 2019 15:40
Tout dépend du type de dépression et de sa cause...
Citation
SDreams off a écrit:
Non, je ne dis pas que cela se soigne par les plantes.

Mais les médocs pour la depression n'aide en rien sur le long terme.


La dépression peut se guérir et les médocs n'aident pas. Ils entretiennent l'état dépressif.
S
19 décembre 2019 16:24
Sur le long terme aucun de ces traitements n'aident le patient.

C'est mon point de vu et mes observations. Ces médicaments font plus de dégât que de bien.

On ne parle pas de maladie mentale, mais de dépression.

La dépression se soigne grâce à la thérapie et le changement de mode de vie et de pensée. En aucun cas avec des médocs.
Citation
Cawit a écrit:
Tout dépend du type de dépression et de sa cause...
C
19 décembre 2019 16:33
Tout dépend du type de dépression.

Il y a des dépressions à composante biologique.
Il y'a des dépressions aussi causées par des pathologies mentales sous-jacentes.

Et ici ce n'est pas mon point de vue ni mes observations mais un fait médical.


Fin soit, ce n'était pas le sujet..
Citation
SDreams off a écrit:
Sur le long terme aucun de ces traitements n'aident le patient.

C'est mon point de vu et mes observations. Ces médicaments font plus de dégât que de bien.

On ne parle pas de maladie mentale, mais de dépression.

La dépression se soigne grâce à la thérapie et le changement de mode de vie et de pensée. En aucun cas avec des médocs.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/12/19 16:38 par Cawit.
 
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