Hicham, ancien combattant de l'État Islamique et frère d'un des terroristes du 13 novembre, a été déchu de sa nationalité française après avoir purgé une peine de 9 ans. Il se retrouve aujourd'hui sans papier, dans l'incapacité de travailler, et assigné à résidence sous des restrictions sévères. Pourtant, ni l'Algérie ni le Maroc n'acceptent de le reprendre, plongeant la France dans un dilemme coûteux : 130 000 € pour 7 mois de rétention administrative, et 2700 € par mois pour son hébergement. Un poids pour les finances publiques, dit-il lui-même.
Et qu'en est-il des franco-israéliens qui combattent au sein de Tsahal et assassinent chaque jour des innocents ? Ne méritent-ils pas la même sanction ?