Ha les pubs! Slim Fast avec marie christine Machin qui maigri et prend de la poitrine en kkes semaines, Sonia Dubois qui detriple de volume grace a je ne sais qu'elle poudre au chocolat.
Des pub pour les rides, la digestion, la vitalité, ect..ect
Attention mesdames y'a de gros mensonges derriere tout cela. La preuve l'Oréal, le seul produit en qui nous avions confiance nous a trahis!
bonne lecture
En Grande-Bretagne, le numéro un mondial des cosmétiques, L'Oréal, ne pourra plus affirmer, dans ses spots télévisés, que sa crème amincissante Perfect Slim "réduit visiblement l'apparence de la cellulite" ni avancer qu'elle est "jugée meilleur produit anticellulite par une étude indépendante" . Le fabricant ne pourra plus, non plus, arguer que "76 % des femmes témoignent d'une réduction visible des rides d'expression" pour vanter les résultats de sa crème antirides Décontract'rides.
La décision de l'organisme britannique indépendant Advertising Standard Authority (ASA) financé par une taxe prélevée sur tout achat d'espace publicitaire a été rendue publique le 17 août. La plainte d'un téléspectateur est à l'origine de cette décision, qui s'impose aujourd'hui à L'Oréal.
De quoi s'agit-il précisément ? De la véracité des "preuves scientifiques" utilisées par L'Oréal pour prouver l'efficacité de ses cosmétiques. L'ASA a, par exemple, jugé, à propos de la crème antirides, que la combinaison de la mention "réduit visiblement les rides d'expression" avec la publication d'un test pratiqué par 50 femmes qui se sont autoévaluées après trois semaines d'utilisation "est compris comme ayant une action physiologique avec un effet sur le long terme" . Pour L'Oréal, "il était clair que la publicité [de Décontract'rides] ne mettait en avant qu'un effet temporaire sur les rides d'expression".
L'Oréal est donc contraint de revoir ses publicités prévues outre-Manche en 2006. Car les preuves avancées par l'industriel, y compris celles relatives aux résultats obtenus par la molécule de boswelox testée uniquement en laboratoire, "ne constituaient pas des arguments suffisants pour ce type d'allégation", indique l'ASA. Le groupe a affirmé, mercredi 24 août, qu'il allait "effectuer des tests complémentaires cosméto-cliniques", afin de mieux prouver l'efficacité de ses produits.