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participant a écrit:
moi je vois sur la video que la presse filme tranquilement , ..... les flics les voient filmer et ne leur disent rien .
sbata , on connait ....
y'en a meme un qui tourne autour des flics , jusq'a qu'il le bastonne , on dirait qu'il venu chercher une video avec du sang.
ces manifestants sont mobilisés par ceux qui ont aucun interet que la democratie s'installe .....
on ne se laissera pas manipulé hichamo et tes amis .
a bas de le desordre et siba
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bara77 a écrit:
salem
je souhaite savoir pourquoi c'est personne manifeste ?
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participant a écrit:
non mon frere , j ne travaille pour personne , je susi juste democrate ... et j'attends le referendum pour voter. je n'essaye pas d'imposr mon point de vue de force comme vous.
t'es democrate ou pas ? a mon avis t'es un produit de l'ancien regime.... ou tu bosses pour les iraniens ? ou les russes ? non !!!!
pour qui tu bosses toi ? pour vouloir mettre le desordre et l'anarchie a ce point là ?
allé rouh
Citation
ouldabbas a écrit:
"Tu as vus comment l'état s'est mis en état de guerre face à des manifestants plus que pacifiques. Tu as vu que les manifestants n'ont jeté même pas une seule pierre? Tu as vu que les manifestants ont protégé les policiers que leurs collègues avaient laissés derrière alors qu'ils auraient pu les achever? Tu as vu comment des jeunes sont à terre et les lâches continuent à leur taper dessus? Tu as vu comment ils tabassent une femme avec un enfant dans ses bras? Si tout cela ne te fait rien ou que ça te fait plaisir, tu devrais vraiment aller consulter. Tu n'es pas un être humain normalement constitué.
"
1) D'abord cette manif a ete interdite.
2) On ne va pas laisser des extremistes faire leur loi.
La femme dont tu parles a ete donne ample chance pour partir. Un policier lui donne son enfant et la somme de partir.
Elle marche quelque metre et laisse tomber l'enfant. Une deuxieme fois on lui donne l'enfant. C'est une
masquarade. On est pas dupe.
Achever un policier aurait ete une erreur fatale pour les extremistes. En plus ce n'est pas les manifestants
qui les ont aide. C'etait les fils de Sbata.
En conclusion, defier les lois du pays ne sera plus tolere. Si une femme veut jouer a cache cache avec
son enfant c'est son probleme. C'est son choix.
Ce qu'il faut au maro c'est bcp plus de femmes policiers comme ca les hommes policiers joueront avec les hommes
et les femmes policiers joueront avec les femmes et les homos.
Citation
Hichamo a écrit:Citation
participant a écrit:
non mon frere , j ne travaille pour personne , je susi juste democrate ... et j'attends le referendum pour voter. je n'essaye pas d'imposr mon point de vue de force comme vous.
t'es democrate ou pas ? a mon avis t'es un produit de l'ancien regime.... ou tu bosses pour les iraniens ? ou les russes ? non !!!!
pour qui tu bosses toi ? pour vouloir mettre le desordre et l'anarchie a ce point là ?
allé rouh
Tu vas voter OUI... allez avoue... tout ce qui vient de Sidek est vérité absolue... n'est ce pas ?
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Hichamo a écrit:Citation
ouldabbas a écrit:
"Tu as vus comment l'état s'est mis en état de guerre face à des manifestants plus que pacifiques. Tu as vu que les manifestants n'ont jeté même pas une seule pierre? Tu as vu que les manifestants ont protégé les policiers que leurs collègues avaient laissés derrière alors qu'ils auraient pu les achever? Tu as vu comment des jeunes sont à terre et les lâches continuent à leur taper dessus? Tu as vu comment ils tabassent une femme avec un enfant dans ses bras? Si tout cela ne te fait rien ou que ça te fait plaisir, tu devrais vraiment aller consulter. Tu n'es pas un être humain normalement constitué.
"
1) D'abord cette manif a ete interdite.
2) On ne va pas laisser des extremistes faire leur loi.
La femme dont tu parles a ete donne ample chance pour partir. Un policier lui donne son enfant et la somme de partir.
Elle marche quelque metre et laisse tomber l'enfant. Une deuxieme fois on lui donne l'enfant. C'est une
masquarade. On est pas dupe.
Achever un policier aurait ete une erreur fatale pour les extremistes. En plus ce n'est pas les manifestants
qui les ont aide. C'etait les fils de Sbata.
En conclusion, defier les lois du pays ne sera plus tolere. Si une femme veut jouer a cache cache avec
son enfant c'est son probleme. C'est son choix.
Ce qu'il faut au maro c'est bcp plus de femmes policiers comme ca les hommes policiers joueront avec les hommes
et les femmes policiers joueront avec les femmes et les homos.
Tu peux défendre le tabassage de manifestants plus que pacifistes comme tu veux... Ca montre seulement quel genre de personne tu es.... tout ce que je peux te dire c'est que le peuple n'accepte plus de vivre sous la botte de M6. Si tu n'es pas capable de comprendre ça, je ne peux rien faire pour toi....
Citation
boutrioult1 a écrit:
"Je vais te briser le dos, je m’occuperai moi-même de te tuer et de t’enterrer. Rappelle-toi bien de moi "
Dimanche, 29 Mai 2011 19:44 Omar Radi
C’est la troisième semaine que le Mouvement du 20 février au Maroc subit de plein fouet les foudres du régime politique marocain, à travers ses appareils répressifs et idéologiques, qui ne servent qu’à liquider toute aspiration des forces vives du pays, particulièrement sa jeune génération, à l’émancipation, à la liberté, et à une démocratie réelle.
A Rabat, ayant enregistré plus d’une centaine de blessés lors des manifestations brutalement réprimées des 15 et 22 mai derniers, le mouvement, ainsi que les organisations qui le soutiennent ont décidé d’organiser, ce samedi 28 mai, un sit-in devant le parlement pour condamner la répression policière à l’encontre de ses militants. Après avoir interdit le sit-in pacifique, les forces de police, toutes catégories confondues sont intervenues pour disperser de force les manifestants. En 2 minutes, la place devant le parlement s’est vidée. S’en est suivi des courses-poursuites qui ont duré près d’une heure. Tous les cafés et boutiques du quartier entourant le parlement ont été fouillés par la police, qui a commencé une chasse aux sorcières dans toutes les rues à la recherche des jeunes du 20 février.
Acte I :
Dispersion faite et réussie, les militants se sont séparés, chacun est parti vaquer à ses occupations. A 16h, personne n’avait plus l’intention de re-manifester. Dans une rue derrière l’hôtel Balima, Nizar Bennamate, un jeune du 20 février et moi, croyions la course-poursuite finie. On est alors surpris par une quarantaine d’agents BLIR (Brigades légères d’intervention rapide) surgir des deux bouts de la rue. On essaie de se cacher dans une épicerie. Mais on a été rattrapés par une dizaine de ces agents, venus nous sortir manu militari de l’épicerie. Dans la rue, un photographe de la police s’approche de nous, et nous prend en photo de différents angles. Par la suite on est passés à la matraque, aux coups de brodequins, et coups de poing avant de nous relâcher, non sans les formules habituelles d’humiliation et de provocation.
Cette scène est très courante au Maroc, les mouvements sociaux à Rabat s’y sont habitués. En revanche, ce qui suit sort de la banalité, et renvoie aux méthodes employées par la police politique lors des années de plomb, que la génération actuelle ne connaissait que dans les romans de la littérature carcérale.
Acte II :
A 20h, il n’y avait plus les forces d’intervention dans la place, tout semblait calme. J’attendais ma copine dans un café, pour rentrer à la maison, où on organisait une petite fête entre amis. Sur le chemin de la maison, deux policiers en uniforme (des CMI munis de gilets pare-balles) nous suivent depuis le café. Ils m’interpellent, me demande ma pièce d’identité. Je demande avec insistance la raison de mon arrestation, « tu sauras dans quelques minutes » m’avaient-ils expliqué. Ils nous emmènent, ma copine et moi, dans une rue vide de monde. Après dix minutes d’attente, leur chef arrive. Il me trouve en train de parler au téléphone à une membre du Bureau central de l’Association marocaine des droits humains (AMDH). Il m’ordonne, coup de poing dans mon thorax à l’appui, de raccrocher. Le « chef », comme les deux CMI l’appelaient, était vêtu d’un uniforme marron, et était mieux musclé que la plupart des autres policiers. Les personnes à qui j’ai demandé des renseignements sur ce corps de la police, en uniforme marron, n’en savent rien. Ma copine terrorisée par cette violence physique et verbale, j’ai essayé de garder mon calme et ne pas réagir à leur provocation. « Nous t’avons vu dans la manifestation de tout à l’heure, et nous t’avons pris en photo » me dit-il. Il ajoute, en m’étranglant : «La prochaine fois que je te vois avec les jeunes du 20 février, dans un café ou dans la rue, la prochaine fois que tu participes à leurs réunions, la prochaine fois que tu manifesteras, je vais te briser le dos, je m’occuperai moi-même de te tuer et de t’enterrer. Rappelle-toi bien de moi ». Je me demande comment je pourrai l’oublier…
Après les coups de matraque, l’humiliation, la provocation, la police marocaine semble passer à une vitesse supérieure dans l’usage de la violence à l’encontre des militants. Le 22 mai dernier, elle a eu recours aux rafles nocturnes à Casablanca. Le 15 mai, en poursuivant les militants du 20 février, les chefs de police ordonnaient aux agents d’intervention rapide : « Cassez lui le bras, cassez lui la jambe », en ciblant méthodiquement les militants les plus actifs. Les méthodes d’intimidation se multiplient dans les quartiers et dans la rue, où la police s’attaque à tout citoyen qui aurait manifesté un jour, et qui ait eu le malheur d’avoir été pris en photo par leurs photographes.
En tant que citoyen marocain, je considère que les forces de police agissent en toute illégalité, et que, par leurs actes que je dénonce, elles plongeront mon pays dans la terreur des années de plomb. Face à des mouvements qui prônent la protestation pacifique, le seul acteur qui emploie la violence actuellement, c’est l’Etat marocain.
Tout en revendiquant mon droit à l’expression et à la protestation pacifique, je réclame mon droit à une enquête sur cet agent de la police qui m’a explicitement menacé de mort, menaces que je prends très au sérieux, et je tiens, par conséquent, le ministre de l’Intérieur, Taieb Cherkaoui, pour unique responsable de ce qui pourrait m’arriver dans le futur, de la part des différentes catégories de la police.
Rabat, Le samedi 28 mai
Omar Radi
Jeune du 20 février. Journaliste.
Source : [fr.lakome.com]
Les gènes d'Hassan II sont de retour...le nouveau souffle s'avère comme étant une grossière supercherie à laquelle certains veulent encore y croire...
C'est ce genre de méthodes qu'on utilise, si on a la réelle intention de réformer la constitution vers une vraie transition démocratique?????
Tssss
Citation
taha 2 a écrit:Citation
boutrioult1 a écrit:
"Je vais te briser le dos, je m’occuperai moi-même de te tuer et de t’enterrer. Rappelle-toi bien de moi "
Dimanche, 29 Mai 2011 19:44 Omar Radi
C’est la troisième semaine que le Mouvement du 20 février au Maroc subit de plein fouet les foudres du régime politique marocain, à travers ses appareils répressifs et idéologiques, qui ne servent qu’à liquider toute aspiration des forces vives du pays, particulièrement sa jeune génération, à l’émancipation, à la liberté, et à une démocratie réelle.
A Rabat, ayant enregistré plus d’une centaine de blessés lors des manifestations brutalement réprimées des 15 et 22 mai derniers, le mouvement, ainsi que les organisations qui le soutiennent ont décidé d’organiser, ce samedi 28 mai, un sit-in devant le parlement pour condamner la répression policière à l’encontre de ses militants. Après avoir interdit le sit-in pacifique, les forces de police, toutes catégories confondues sont intervenues pour disperser de force les manifestants. En 2 minutes, la place devant le parlement s’est vidée. S’en est suivi des courses-poursuites qui ont duré près d’une heure. Tous les cafés et boutiques du quartier entourant le parlement ont été fouillés par la police, qui a commencé une chasse aux sorcières dans toutes les rues à la recherche des jeunes du 20 février.
Acte I :
Dispersion faite et réussie, les militants se sont séparés, chacun est parti vaquer à ses occupations. A 16h, personne n’avait plus l’intention de re-manifester. Dans une rue derrière l’hôtel Balima, Nizar Bennamate, un jeune du 20 février et moi, croyions la course-poursuite finie. On est alors surpris par une quarantaine d’agents BLIR (Brigades légères d’intervention rapide) surgir des deux bouts de la rue. On essaie de se cacher dans une épicerie. Mais on a été rattrapés par une dizaine de ces agents, venus nous sortir manu militari de l’épicerie. Dans la rue, un photographe de la police s’approche de nous, et nous prend en photo de différents angles. Par la suite on est passés à la matraque, aux coups de brodequins, et coups de poing avant de nous relâcher, non sans les formules habituelles d’humiliation et de provocation.
Cette scène est très courante au Maroc, les mouvements sociaux à Rabat s’y sont habitués. En revanche, ce qui suit sort de la banalité, et renvoie aux méthodes employées par la police politique lors des années de plomb, que la génération actuelle ne connaissait que dans les romans de la littérature carcérale.
Acte II :
A 20h, il n’y avait plus les forces d’intervention dans la place, tout semblait calme. J’attendais ma copine dans un café, pour rentrer à la maison, où on organisait une petite fête entre amis. Sur le chemin de la maison, deux policiers en uniforme (des CMI munis de gilets pare-balles) nous suivent depuis le café. Ils m’interpellent, me demande ma pièce d’identité. Je demande avec insistance la raison de mon arrestation, « tu sauras dans quelques minutes » m’avaient-ils expliqué. Ils nous emmènent, ma copine et moi, dans une rue vide de monde. Après dix minutes d’attente, leur chef arrive. Il me trouve en train de parler au téléphone à une membre du Bureau central de l’Association marocaine des droits humains (AMDH). Il m’ordonne, coup de poing dans mon thorax à l’appui, de raccrocher. Le « chef », comme les deux CMI l’appelaient, était vêtu d’un uniforme marron, et était mieux musclé que la plupart des autres policiers. Les personnes à qui j’ai demandé des renseignements sur ce corps de la police, en uniforme marron, n’en savent rien. Ma copine terrorisée par cette violence physique et verbale, j’ai essayé de garder mon calme et ne pas réagir à leur provocation. « Nous t’avons vu dans la manifestation de tout à l’heure, et nous t’avons pris en photo » me dit-il. Il ajoute, en m’étranglant : «La prochaine fois que je te vois avec les jeunes du 20 février, dans un café ou dans la rue, la prochaine fois que tu participes à leurs réunions, la prochaine fois que tu manifesteras, je vais te briser le dos, je m’occuperai moi-même de te tuer et de t’enterrer. Rappelle-toi bien de moi ». Je me demande comment je pourrai l’oublier…
Après les coups de matraque, l’humiliation, la provocation, la police marocaine semble passer à une vitesse supérieure dans l’usage de la violence à l’encontre des militants. Le 22 mai dernier, elle a eu recours aux rafles nocturnes à Casablanca. Le 15 mai, en poursuivant les militants du 20 février, les chefs de police ordonnaient aux agents d’intervention rapide : « Cassez lui le bras, cassez lui la jambe », en ciblant méthodiquement les militants les plus actifs. Les méthodes d’intimidation se multiplient dans les quartiers et dans la rue, où la police s’attaque à tout citoyen qui aurait manifesté un jour, et qui ait eu le malheur d’avoir été pris en photo par leurs photographes.
En tant que citoyen marocain, je considère que les forces de police agissent en toute illégalité, et que, par leurs actes que je dénonce, elles plongeront mon pays dans la terreur des années de plomb. Face à des mouvements qui prônent la protestation pacifique, le seul acteur qui emploie la violence actuellement, c’est l’Etat marocain.
Tout en revendiquant mon droit à l’expression et à la protestation pacifique, je réclame mon droit à une enquête sur cet agent de la police qui m’a explicitement menacé de mort, menaces que je prends très au sérieux, et je tiens, par conséquent, le ministre de l’Intérieur, Taieb Cherkaoui, pour unique responsable de ce qui pourrait m’arriver dans le futur, de la part des différentes catégories de la police.
Rabat, Le samedi 28 mai
Omar Radi
Jeune du 20 février. Journaliste.
Source : [fr.lakome.com]
Les gènes d'Hassan II sont de retour...le nouveau souffle s'avère comme étant une grossière supercherie à laquelle certains veulent encore y croire...
C'est ce genre de méthodes qu'on utilise, si on a la réelle intention de réformer la constitution vers une vraie transition démocratique?????
Tssss
trop dit cher 20 quelque chose !!
tu as beau essayer de parler trop pour te donner l'impression d'avoir raison sauf que moi, comme plusieurs de tes concitoyens je te trouve peu persuasif et très évasif dans tes propos ....!!!
les vidéos on les a vu sur youtube , il s'agit d'une intervention anti-emeute professionnelle qui avait pour but la dispertion d'une foule qui manifeste en depit de l'interdiction de l'etat , et ils ont réussie leur mission , c'est une procédure d'usage, normale et courante !!dans toutes les democratie du monde.
tapes manif paris crs sur youtoube tu verras !!! et ceci est juste un exemple .
alors arrêtes de fantasme sur du n'importe quoi !!
et puis va revoir les videos ou les journalistes ( pas toi mais les vrais ) était aux côtes des forces entrain de filmer et de prendre les photos , c'est juste toi et tes 20 camarades qui veulent se faire une image d' héros en essayant de provoquer d'avantage les forces de l'ordre en vue de leur pousser à plus d'agressivité pour prendre la meilleur photo ou la bonne vidéo par le billet de quoi il te serait possible de te victimiser devant la présentatrice d' al jazzira MAGHARIBI !! c'est minable et pitoyable !!
en plus tout ce qu 'on te demande c'est de voir et voter ce n'est pas de la démocratie ca ?????????
si tu n'est pas d'accord avec les reformes constitutionnels tu peux manifester ton désaccord par un NON !!!
et si tu es majoritaire avec tes 20 colombo , et bah , on passerait à une autre formule , si non tu ne peux que t'écraser devant la volonté commune d' un peuple !!! ca te va ca ????
Citation
taha 2 a écrit:
les vidéos on les a vu sur youtube , il s'agit d'une intervention anti-emeute professionnelle
Citation
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taha 2 a écrit:Citation
boutrioult1 a écrit:
"Je vais te briser le dos, je m’occuperai moi-même de te tuer et de t’enterrer. Rappelle-toi bien de moi "
Dimanche, 29 Mai 2011 19:44 Omar Radi
C’est la troisième semaine que le Mouvement du 20 février au Maroc subit de plein fouet les foudres du régime politique marocain, à travers ses appareils répressifs et idéologiques, qui ne servent qu’à liquider toute aspiration des forces vives du pays, particulièrement sa jeune génération, à l’émancipation, à la liberté, et à une démocratie réelle.
A Rabat, ayant enregistré plus d’une centaine de blessés lors des manifestations brutalement réprimées des 15 et 22 mai derniers, le mouvement, ainsi que les organisations qui le soutiennent ont décidé d’organiser, ce samedi 28 mai, un sit-in devant le parlement pour condamner la répression policière à l’encontre de ses militants. Après avoir interdit le sit-in pacifique, les forces de police, toutes catégories confondues sont intervenues pour disperser de force les manifestants. En 2 minutes, la place devant le parlement s’est vidée. S’en est suivi des courses-poursuites qui ont duré près d’une heure. Tous les cafés et boutiques du quartier entourant le parlement ont été fouillés par la police, qui a commencé une chasse aux sorcières dans toutes les rues à la recherche des jeunes du 20 février.
Acte I :
Dispersion faite et réussie, les militants se sont séparés, chacun est parti vaquer à ses occupations. A 16h, personne n’avait plus l’intention de re-manifester. Dans une rue derrière l’hôtel Balima, Nizar Bennamate, un jeune du 20 février et moi, croyions la course-poursuite finie. On est alors surpris par une quarantaine d’agents BLIR (Brigades légères d’intervention rapide) surgir des deux bouts de la rue. On essaie de se cacher dans une épicerie. Mais on a été rattrapés par une dizaine de ces agents, venus nous sortir manu militari de l’épicerie. Dans la rue, un photographe de la police s’approche de nous, et nous prend en photo de différents angles. Par la suite on est passés à la matraque, aux coups de brodequins, et coups de poing avant de nous relâcher, non sans les formules habituelles d’humiliation et de provocation.
Cette scène est très courante au Maroc, les mouvements sociaux à Rabat s’y sont habitués. En revanche, ce qui suit sort de la banalité, et renvoie aux méthodes employées par la police politique lors des années de plomb, que la génération actuelle ne connaissait que dans les romans de la littérature carcérale.
Acte II :
A 20h, il n’y avait plus les forces d’intervention dans la place, tout semblait calme. J’attendais ma copine dans un café, pour rentrer à la maison, où on organisait une petite fête entre amis. Sur le chemin de la maison, deux policiers en uniforme (des CMI munis de gilets pare-balles) nous suivent depuis le café. Ils m’interpellent, me demande ma pièce d’identité. Je demande avec insistance la raison de mon arrestation, « tu sauras dans quelques minutes » m’avaient-ils expliqué. Ils nous emmènent, ma copine et moi, dans une rue vide de monde. Après dix minutes d’attente, leur chef arrive. Il me trouve en train de parler au téléphone à une membre du Bureau central de l’Association marocaine des droits humains (AMDH). Il m’ordonne, coup de poing dans mon thorax à l’appui, de raccrocher. Le « chef », comme les deux CMI l’appelaient, était vêtu d’un uniforme marron, et était mieux musclé que la plupart des autres policiers. Les personnes à qui j’ai demandé des renseignements sur ce corps de la police, en uniforme marron, n’en savent rien. Ma copine terrorisée par cette violence physique et verbale, j’ai essayé de garder mon calme et ne pas réagir à leur provocation. « Nous t’avons vu dans la manifestation de tout à l’heure, et nous t’avons pris en photo » me dit-il. Il ajoute, en m’étranglant : «La prochaine fois que je te vois avec les jeunes du 20 février, dans un café ou dans la rue, la prochaine fois que tu participes à leurs réunions, la prochaine fois que tu manifesteras, je vais te briser le dos, je m’occuperai moi-même de te tuer et de t’enterrer. Rappelle-toi bien de moi ». Je me demande comment je pourrai l’oublier…
Après les coups de matraque, l’humiliation, la provocation, la police marocaine semble passer à une vitesse supérieure dans l’usage de la violence à l’encontre des militants. Le 22 mai dernier, elle a eu recours aux rafles nocturnes à Casablanca. Le 15 mai, en poursuivant les militants du 20 février, les chefs de police ordonnaient aux agents d’intervention rapide : « Cassez lui le bras, cassez lui la jambe », en ciblant méthodiquement les militants les plus actifs. Les méthodes d’intimidation se multiplient dans les quartiers et dans la rue, où la police s’attaque à tout citoyen qui aurait manifesté un jour, et qui ait eu le malheur d’avoir été pris en photo par leurs photographes.
En tant que citoyen marocain, je considère que les forces de police agissent en toute illégalité, et que, par leurs actes que je dénonce, elles plongeront mon pays dans la terreur des années de plomb. Face à des mouvements qui prônent la protestation pacifique, le seul acteur qui emploie la violence actuellement, c’est l’Etat marocain.
Tout en revendiquant mon droit à l’expression et à la protestation pacifique, je réclame mon droit à une enquête sur cet agent de la police qui m’a explicitement menacé de mort, menaces que je prends très au sérieux, et je tiens, par conséquent, le ministre de l’Intérieur, Taieb Cherkaoui, pour unique responsable de ce qui pourrait m’arriver dans le futur, de la part des différentes catégories de la police.
Rabat, Le samedi 28 mai
Omar Radi
Jeune du 20 février. Journaliste.
Source : [fr.lakome.com]
Les gènes d'Hassan II sont de retour...le nouveau souffle s'avère comme étant une grossière supercherie à laquelle certains veulent encore y croire...
C'est ce genre de méthodes qu'on utilise, si on a la réelle intention de réformer la constitution vers une vraie transition démocratique?????
Tssss
trop dit cher 20 quelque chose !!
tu as beau essayer de parler trop pour te donner l'impression d'avoir raison sauf que moi, comme plusieurs de tes concitoyens je te trouve peu persuasif et très évasif dans tes propos ....!!!
les vidéos on les a vu sur youtube , il s'agit d'une intervention anti-emeute professionnelle qui avait pour but la dispertion d'une foule qui manifeste en depit de l'interdiction de l'etat , et ils ont réussie leur mission , c'est une procédure d'usage, normale et courante !!dans toutes les democratie du monde.
tapes manif paris crs sur youtoube tu verras !!! et ceci est juste un exemple .
alors arrêtes de fantasme sur du n'importe quoi !!
et puis va revoir les videos ou les journalistes ( pas toi mais les vrais ) était aux côtes des forces entrain de filmer et de prendre les photos , c'est juste toi et tes 20 camarades qui veulent se faire une image d' héros en essayant de provoquer d'avantage les forces de l'ordre en vue de leur pousser à plus d'agressivité pour prendre la meilleur photo ou la bonne vidéo par le billet de quoi il te serait possible de te victimiser devant la présentatrice d' al jazzira MAGHARIBI !! c'est minable et pitoyable !!
en plus tout ce qu 'on te demande c'est de voir et voter ce n'est pas de la démocratie ca ?????????
si tu n'est pas d'accord avec les reformes constitutionnels tu peux manifester ton désaccord par un NON !!!
et si tu es majoritaire avec tes 20 colombo , et bah , on passerait à une autre formule , si non tu ne peux que t'écraser devant la volonté commune d' un peuple !!! ca te va ca ????
Ecoute bien lé7ass lkappa, je n'essaye pas d'avoir raison, mais de défendre mes idées et les partager sur ce forum. Il m'arrive de dire des conneries comme tout le monde et dires des choses un peu sensé également. Maintenant, si tu n'es pas content va te plaindre à tes forces de l'ordre.
Toi et tes semblables de l7assin lkappa, vous ne proposez rien! la situation dictatoriale actuelle où se trouve le Maroc, vous plait parfaitement, à en croire tes interventions Ô combien objectives et précises, le Maroc est un paradis sur terre. Je ne veux même pas chercher à savoir, pourquoi cette situation arrange t elle tes semblables, parce que la réponse est tellement évident qu'il faut être un tebé pour ne pas la connaitre...
Tu peux raconter tes salades de professionnalisme des forces de l'ordre, mais hélas personne n'y croit. Depuis quand les forces de l'ordre d'un dictateur sont t elles professionnelles???? Attends, on est entrain de parler du même pays ici?? C’est la meilleure celle là!
M. l'avocat de la dictature, moi je sortirai tant que je ne sais pas ce que va nous servir ton dictateur comme soupe! Je veux bien voter mais pour une constitution qui a été élaboré par une commission neutre du pouvoir absolu actuel! Depuis quand on fait confiance à la constitution rédiger par les sbires d'un dictateur??????? Mais tu es formidable toi ^^
Tu n'as pas besoin de m'expliquer ce que c'est ça la démocratie. Je me plierai toujours à la volonté de la majorité, mais qu'on nous propose une constitution où tous les pouvoirs seront donnés à un élu du peuple et non un descendant de je ne sais pas qui...c'est fini le moyen âge Monsieur!